1 / 13

Apport de la biologie

. Surveillance de la rougeole. Apport de la biologie. INSERM Roxane Brachet. Le virus de la rougeole. Famille des Paramixoviridae, Genre Morbillivirus. ARN mono-brin, polarité négative

glen
Download Presentation

Apport de la biologie

An Image/Link below is provided (as is) to download presentation Download Policy: Content on the Website is provided to you AS IS for your information and personal use and may not be sold / licensed / shared on other websites without getting consent from its author. Content is provided to you AS IS for your information and personal use only. Download presentation by click this link. While downloading, if for some reason you are not able to download a presentation, the publisher may have deleted the file from their server. During download, if you can't get a presentation, the file might be deleted by the publisher.

E N D

Presentation Transcript


  1. . Surveillance de la rougeole Apport de la biologie INSERM Roxane Brachet

  2. Le virus de la rougeole • Famille des Paramixoviridae, Genre Morbillivirus. • ARN mono-brin, polarité négative • Monotypique (un sérotype), bien que des changements antigéniques dans l’hémagglutinine et la nucléoprotéine aient été décrits, mais sans conséquences épidémiologiques • Réservoir humain

  3. Structure du virus Protéine de Fusion Hémagglutinine Polymérase Phosphoprotéine Nucléoprotéine Protéine de Matrice

  4. Aspects cliniques • Site primaire d ’infection dans l ’épithélium naso-pharyngé, après une seconde virémie (à J+6) mène à l’infection d’autres organes • Incubation de 10 à 12 jours  prodrome de 2 à 4 jours (fièvre, coryza, toux, conjonctivite, Köplik)  Éruption généralisée de 5 jours ; secrétion du virus dans le naso-pharynx durant cette période

  5. Épidémiologie actuelle • Couverture vaccinale -augmentation de l’âge à l’infection, et atténuation du tableau clinique. • Diagnostic clinique difficile, confusion avec d’autres maladies éruptives… • Nécessité d’une surveillance basée sur desoutils biologiques précis.

  6. Méthodes de diagnostic biologique • Technique indirectes : détection d’anticorps spécifiques (sérologie, test salivaire) • Technique directes : mise en évidence du virus (isolement sur culture cellulaire, RT-PCR) à partir de sang, salive, prélèvement de gorge, aspiration NP, urine

  7. Immunodétection d’Ig salivaires

  8. Immuno-détection d’Ig salivaires • Bonne spécificité et sensibilité (>90%) • Test non invasif, rapide • La détection d’IgM rend compte d’une infection récente, et est possible pendant les 5 semaines suivant le début de l’éruption • Ne permet pas de distinguer les souches virales

  9. Isolement viral / RT-PCR

  10. Amplification génique (PCR) • Extraction de l’ARN possible à partir du prélèvement clinique (sans isolement préalable) ---> transcription en ADNc ---> PCR • Les gènes d ’hémagglutinine, nucléoprotéine, matrice sont les plus souvent étudiés en épidémiologie moléculaire

  11. Isolement viral / RT-PCR: intérêt • Constitution de virothèques • Possibilité d ’analyse phyllogénétique : détermination des souches circulant en France, de leur évolution temporelle, et de leur origine géographique…. • Étude des protéines par clonage et expression des gènes amplifiés ---> étude des variations antigéniques ?

  12. Quelques résultats publiés

  13. Conclusion • Intérêt épidémiologique des méthodes décrites, nécessaires à une surveillance plus fine de la maladie • Confirmer les vrais cas de rougeole • Évaluer la circulation du virus en population (vaccinée ou non) • Déterminer l’origine des souches virales • Mieux cerner l’épidémiologie et adapter les programmes d’élimination

More Related