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PREPARER LE. BREVET D’INITIATION A L’AERONAUTIQUE. AU LYCEE NOTRE-DAME DE GRACE. La formation au B.I.A. C’est avant tout un groupe chaleureux d’élèves : Volontaires : la formation au BIA se fait hors cursus scolaire !
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PREPARER LE BREVET D’INITIATION A L’AERONAUTIQUE AU LYCEE NOTRE-DAME DE GRACE
La formation au B.I.A • C’est avant tout un groupe chaleureux d’élèves : • Volontaires : la formation au BIA se fait hors cursus scolaire ! • Motivés, s’engageant à suivre les cours assidûment et à fournir le travail sollicité par les professeurs
Choisir son métier : • « Fais ce qu’il te plait ; fais-le bien » Montaigne • Pratiquer une activité aéronautique c’est aussi par la suite être choisi dans son métier en faisant la différence parmi d’autres candidats. • Les valeurs qui structurent une personnalité sont parmi les premiers critères recherchés par de futurs employeurs, et ces valeurs sont intrinsèques à la pratique d’un sport aérien : rigueur, sens des responsabilités, méthode, maturité, dépassement de soi, pratique en équipe.
ES-TU CONCERNE ? Oui si tu es lycéen, le B.I.A a pour objectifs de : • compléter ta culture générale • te préparer aux activités aéronautiques (Brevet de Vol moteur, Vol à voile, Parachutisme, ULM, Aéromodélisme…) • te faire réfléchir à un projet professionnel lié à l’aéronautique qui te propose plus de 140 métiers (pilote, mécanicien, maintenance, ingénieur, contrôleur, météorologie, services des bases aériennes, services commerciaux des compagnies aériennes…) • te montrer les applications pratiques des Mathématiques, Physique-Chimie
Un diplôme reconnu par : Uneformation gratuite ouverte à tous !!!!
Découvrir le monde de l’aéronautique Le Brevet d’Initiation Aéronautique (BIA) s’adresse aux jeunes intéressés par le monde de l’aviation en général et âgés d’au moins 13 ans à la date des épreuves.Il comprend des cours théoriques et pratiques. Quadriplaces DR400 Le pilotage d’un avion, c’est accessible à tous ! !
Le B.I.A : une porte ouverte vers les métiers de l’aéronautique ! • Deux grandes familles de métiers • Les métiers autour de ceux qui conçoivent et fabriquent des avions ou des systèmes aérospatiaux. • Les constructeurs d’avions, de missiles, de satellites et de lanceurs, ainsi que les concepteurs de systèmes électroniques embarqués. • Les motoristes qui conçoivent les systèmes propulsifs pour avions, hélicoptères, véhicules spatiaux. • Les équipementiers qui réalisent les composants comme les trains d’atterrissage ou les éléments des circuits électriques, hydrauliques, carburant, conditionnement. • Les sous-traitants en mécanique, hydraulique, électrique, électronique, informatique…
Les métiers autour de ceux qui les utilisent et les mettent en œuvre : civils ou militaires • Les activités de transport aérien de personnes ou de marchandises : personnel navigant technique et personnel navigant commercial. • Les services aéroportuaires : assistance à l’avion et aux passagers, assistance administrative et commerciale au sol et assistance opérationnelle. • La maintenance aéronautique : entretien des aéronefs et des équipements embarqués ou au sol • Le contrôle aérien.
DUREE DES COURS THEORIQUES & l’ EXAMEN • Deux pilotes ; détenteurs du Certificat d’Aptitude à l’Enseignement de l’Aéronautique, te feront partager leur passion pour l’aéronautique et te prépareront à l’examen du B.I.A pendant une année scolaire de septembre à mi-mai de 16H30 à 19H00 au Lycée. • C’est un examen officiel Education Nationale / Aviation Civile reconnu sur le plan Européen qui se déroule à la mi-Mai au Rectorat de l’Académie de Lille sous forme d’un QCM de 100 questions sur la base de sujets nationaux. • Une moyenne de 10 permet d’avoir son BIA. Celui-ci te permet de bénéficier de bourses pour apprendre à piloter un avion ou un planeur, en ayant déjà acquis les bases théoriques du brevet de pilote. Les formateurs : Messieurs DEUDON & LALOYAUX
LA PRATIQUE : LES VOLS D’APPLICATION • A la fin de votre formation deux vols d’application seront programmés pendant les vacances de printemps (si la météo est favorable et selon les disponibilités des appareils). • Ils se dérouleront au sein de l’Aéroclub de Maubeuge basé sur le terrain de La Salmagne de la façon suivante : - 1 heure en pilotage accompagné à destination d’un aérodrome : application d’une navigation à l’estime et par cheminement ; retour en radio navigation sur balise VOR - 1 heure en place arrière comme observateur - Le coût de ces vols d’un montant de 150€ est pris en charge par la Fédération Française d’Aéronautique et l’Etablissement.
Les programmes • Aérodynamique et mécanique du vol • Technologie des aéronefs • Météorologie • Navigation, Sécurité, Réglementation • Histoire • Epreuve facultative Vol à voile
AERODYNAMIQUE ETMECANIQUE DU VOL Pourquoi un avion vole-t-il ? • L'avion vole parce qu'une force vient s'opposer à son poids et le maintient "en l'air", l'empêchant de tomber. Dans le cas d'une fusée ou d'un SeaHarrier en vol stationnaire, c'est le moteur, qui fournit une force de réaction qui s'oppose au poids. Dans le cas de l'hélicoptère, ce sont les pales du rotor principal (qui ne sont ni plus ni moins que des ailes entraînées en rotation). Dans le cas d'un avion, ce sont les ailes qui créent cette force en se déplaçant dans l'air avec une vitesse suffisante, et rien d'autre. Donc, si vous me suivez bien, quand les moteurs s'arrêtent en vol, l'avion fait quoi ? Il continue à voler tout à fait normalement mais en descente (légère s'il ne s'agit pas d'un chasseur) parce qu'il a toujours ses ailes et que ce sont elles qui lui permettent de voler.
AERODYNAMIQUE ETMECANIQUE DU VOL Comment vole-t-il ? Pour comprendre la façon dont un avion vole, il faut détailler les principales forces auxquelles il est soumis. Le poids : le poids est directement proportionnel à la masse des corps. Il est dû à la gravitation universelle qui, dirigée vers le bas, entraîne n’importe quel objet vers le sol. La portance : la portance est la force résultant de la déviation du flux d’air autour de l’aile d’un avion. Le profil de l’aile légèrement incurvé selon des propriétés dynamiques très précises permet d’obtenir un effet de portance. On remarque que le dessus d'une aile d'avion est bombée alors que le dessous est plat. Donc l'air qui passe au-dessus va plus vite que l'air qui passe en- dessous. Ceci crée une dépression sur le dessus et une surpression en dessous : ainsi l'avion est aspiré vers le haut. On parle de portance.
AERODYNAMIQUE ETMECANIQUE DU VOL Comment vole-t-il ? • La propulsion (encore appelée poussée) est la force qui va permettre de vaincre la traînée. Exercée par le système de propulsion de l’appareil, elle s’obtient en propulsant de l’air vers l’arrière à l’aide de l’hélice (ou du réacteur) , ce qui fait avancer l’avion. • La traînée est une force qui s’oppose au déplacement. Elle dépend de la forme, de l’état des surfaces, de la vitesse de l’objet et des caractéristiques de l’air. • Ces 4 forces s’équilibrent 2 à 2. Portance Traînée Propulsion Poids
TECHNOLOGIE DES AERONEFS Quelle sont les différentes parties d’un aéronef ? les ailes le fuselage (le corps) l'empennage (la queue) le train d'atterrissage (les roues) les réacteurs
TECHNOLOGIE DES AERONEFS - Le fuselage: désigne l'enveloppe d'un avion qui reçoit généralement la charge transportée, ainsi que l'équipage. Le fuselage d'un avion supporte la voilure, l’empennage (pour la stabilité). La forme d'un fuselage est étudiée pour réduire sa traînée dynamique, d'où son nom, issu du verbe fuseler qui signifie littéralement rendre étroit. Sa forme suit donc les règles de l'aérodynamique, sauf pour les anciens avions, et pour les hydravions qui possèdent un dessous de fuselage en forme de coque planante pour se poser sur l'eau. - La voilure: (ou simplement l'aile) est une partie d'un avion. Elle transforme une partie de la force nécessaire à la vitesse de l'avion en force de portance qui permet le vol. "La portance est une fleur qui naît de la vitesse", phrase attribuée au capitaine Ferber, un pionnier de l'aviation. Le principe physique de génération de la portance est identique à celui de la traction exercée par une hélice au travers de ses pales (voir aérodynamique). C'est pourquoi un appareil comme l'hélicoptère, qui utilise un rotor principal pour assurer sa sustentation, est appelé appareil à voilure tournante (par opposition à l'avion qui est un appareil à voilure fixe).
TECHNOLOGIE DES AERONEFS - Le train d’atterrissage : les fonctions principales d'un train d'atterrissage consistent à permettre les évolutions au sol jusqu’au décollage (remorquage, taxi…), l’amortissement de l’impact d’atterrissage, et, grâce à un système de freinage associé, l’arrêt de l’avion sur une distance acceptable. Le train d'atterrissage peut parfois être équipé de skis ou de flotteurs si l'appareil doit amerrir ou atterrir sur la neige. Durant les phases de vol, si le train d'atterrissage ne se replie pas, le train est fixe, sinon, il est rétractable et rentré pour diminuer la résistance à l'air. Il se loge alors dans la case à train d'atterrissage qui peut se trouver dans le fuselage ou dans les ailes.
TECHNOLOGIE DES AERONEFS Moteur, turboréacteurs : La propulsion, sur un aéronef, est obtenue en créant une force, appelée poussée, qui résulte de l'accélération d'une masse d'air par une hélice (entraînée par un moteur) ou par un turboréacteur. Au début du xxie siècle, l'ensemble moteur à piston entraînant une hélice reste utilisé sur la quasi-totalité des avions légers (ULM, avions et hélicoptères légers). Il a été supplanté par le turbomoteur pour les hélicoptères lourds ou rapides. Le turboréacteur, apparu après la Seconde Guerre mondiale, a donné naissance à des dérivés : turbopropulseur et turbofan, utilisés sur tous les avions lourds ou rapides, civils et militaires.
METEOROLOGIE Les nuages et les précipitations Définition : Ensemble visible de minuscules particules d’eau liquide et/ou de cristaux de glace en suspension dans l’atmosphère. Formation : Les nuages se forment par refroidissement de l’air ascendant. Lorsque la température diminue, la quantité maximale de vapeur d’eau que peut contenir l’air diminue, donc l’humidité relative augmente. Lorsque l’humidité relative atteint 100%, la condensation apparaît autour de minuscules parties solides.
METEOROLOGIE Répartition verticale : Les nuages dont la base est située au-dessus de 6 km de hauteur sont constitués de cristaux de glace : préfixe « cirro » Les nuages dont la base est située entre 2 et 6 km de hauteur sont constitués de cristaux de glace et de gouttelettes d’eau liquide : préfixe « alto » Les nuages dont la base est située entre le sol et 2 km de hauteur sont constitués d’eau liquide : pas de « préfixe »
METEOROLOGIE Les nuages Certains nuages peuvent présenter une grande extension verticale. Ce sont les nuages caractéristiques des précipitations et du mauvais temps : préfixe ou terminaison « nimbus » Classification : NUAGES CUMULIFORMES NUAGES STRATIFORMES Forme isolée , « aspect choux fleur » Forme soudée, étalée, en couches superposées Terminaison cumulus Terminaison stratus Cumulus, Altocumulus, Cirrocumulus Stratus, Altostratus, Cirrostratus Cumulus Cirrocumulus Stratus Cirrostratus
METEOROLOGIE L’influence de la météo sur un vol • L'atmosphère est dite turbulente, à l'échelle aéronautique, lorsque la distribution des mouvements d'air subit des variations brusques et importantes provoquant des secousses brutales, de fréquentes embardées et contraignant le pilote à ramener continuellement l'avion en ligne de vol. Les tourbillons capables de tels effets ont une dimension comprise entre 10 et 150 mètres de diamètre. • Les secousses peuvent être considérées comme décrivant tout mouvement de l'avion clairement perceptible, résultant de la turbulence atmosphérique, de faible longueur et de peu de durée, et impossible à corriger par les méthodes normales de contrôle. En pratique, ces secousses ont une telle périodicité qu'elles entraînent des troubles physiologiques chez les passagers. • Une définition moins restrictive des secousses inclut des mouvements à plus grande échelle qui peuvent être partiellement contrecarrés par le pilote. Ces mouvements à plus grande échelle sont suffisamment intenses pour être significatifs dans deux situations : dans les orages et dans les ondes de relief.
METEOROLOGIE Les phénomènes dangereux - Givrage : Verglas : C'est le givrage le plus dangereux. Il est très rapide et on ne s'y attend pas si on n'est pas informé du passage d'un front puisqu'on vole hors des nuages, dans une zone de pluie. Givre « mou » : Il est constitué par une couche de glace opaque et friable. Gelée blanche : Elle est due au phénomène de solidification. Lorsque l'avion passe d'une masse d'air à 0° à une atmosphère chaude et humide, la vapeur d'eau peut congeler. - La turbulence : La turbulence thermique : Elle est due à l'échauffement des couches inférieures de l'atmosphère au contact du sol. Elle dépend de l'insolation, de la nature du sol et du degré d'instabilité de l'air. La turbulence dynamique ou de relief : Elle est due à l'effet du vent sur le relief, c'est la turbulence la plus dangereuse pour un avion léger.
METEOROLOGIE Les phénomènes dangereux - Les orages : Il convient d'éviter les orages en raison des vents violents et des fortes turbulences qu'ils génèrent. - Les précipitations : pluie, neige, bruine - Le « stratus » : nuage très dangereux pour l’aéronautique qui se rencontre dans la phase de dissipation de brouillard - Le voile blanc ou « whiteout »: Le voile blanc désigne un phénomène météorologique semblable à une illusion d'optique. Il apparait lorsqu'une couche de neige fraîchement tombée au sol se confond avec un ciel blanc et un horizon indistinct.
NAVIGATION – SECURITE - REGLEMENTATION Le VOR : moyen de radionavigation, quelques fois implanté sur un aérodrome , le plus souvent en campagne aux points clés des régions de contrôle. La station sol émet un signal dans toutes les directions. Ce signal est modulé de telle sorte que le signal reçu diffère en fonction de la position de l’avion sur le cercle des 360°. Le récepteur de bord permet de matérialiser les informations sur la position de l’avion.
L’ADF : moyen de radionavigation implanté à proximité de certains aérodromes. La balise au sol émet des signaux. A bord, l ’aiguille du radiocompas indique la direction de la balise c’est-à-dire un gisement. Cet indicateur donne les directions de 2 balises différentes Le GPS (Global Positionning System) : c’est un instrument permettant, à l’aide de signaux émis par une constellation de satellites, de connaître à bord la position (latitude, longitude et altitude) de l’avion.
NAVIGATION – SECURITE - REGLEMENTATION Comment la circulation autour d’un aérodrome est-elle réglementée ?
NAVIGATION – SECURITE - REGLEMENTATION • La particularité du contrôle d'approche est de gérer une grande diversité d'appareils, très évolutifs et ayant des grandes différences de vitesses. Cela va de la montgolfière ou du planeur à l'avion de chasse quasi-supersonique en passant par les hélicoptères, les ULM et les avions de ligne. Bien que presque tous les aérodromes aient de tels trafics, on ne parle d'approche que quand l'espace aérien considéré est un espace contrôlé. Ceci exclut les petits aérodromes. • Le contrôleur a deux moyens pour assurer ce service de contrôle : • L’information de traficqui est assurée comme partout : le contrôleur recueille des informations sur la position des aéronefs à qui il doit l'information de trafic, et retransmet ces informations quant aux aéronefs pour lesquels l'information est pertinente. • L’espacementet, dans ce cas, les méthodes de travail varient selon les moyens techniques dont le contrôleur dispose, notamment des moyens radar.Le contrôleur peut ne pas être équipé de radar, disposer d'un radar qui n'est pas agréé pour le guidage, ou d'un radar agréé pour les trois services radar. Poste de contrôle radar sol à Roissy - Charles De Gaulle
HISTOIRE Les pionniers : quelques repères 1783 : 1er vol d’un ballon captif à air chaud conçu par les frères Montgolfier 1890 : L’Eole de Clément Ader, équipée d’un moteur à vapeur de 20ch, décolle sur 50m 1909 : Louis Blériot traverse la Manche pour la première fois sur son Blériot XI. 1918 : Les As de la première guerre mondiale : Fonck, Guynemer, Nungesser, Von Richtofen L’entre deux guerres : L’Aéropostale et ses pilotes : Latécoère, Guillaumet, Mermoz, Saint-Exupéry 1957 : Lancement du 1er satellite artificiel Spoutnik 1961 : Youri Gagarine 1er homme dans l’espace à bord du vaisseau Vostok I, 108mn de vol 1969 : premier pas sur la lune par Neil Amstrong (mission Apollo XI) 1979 : 1er lancement d’une fusée européenne Ariane I
HISTOIRE Les grandes machines 9 Octobre 1890 : décollage de l’Eole de Clément ADER 27 Avril 2005 : 1er vol de l’Airbus A 380 4 Juin 1996 : 1er lancement de la fusée Ariane 5 2 Février 1969 : 1er vol du Concorde
Les visites thématiques Le musée de l’air du Bourget La base aérienne de Florennes en Belgique Chasseur F16 Américain Fouga magister Simulateurdevol
LES AIDES FINANCIERES • Les élèves titulaires du B.I.A bénéficient de « Bourses de Vol » accordées par les fédérations. • Aux bourses accordées par les fédérations s’ajoutent des aides financières accordées par l ’agglomération « Maubeuge Val de Sambre » (se renseigner auprès des clubs).
Tu aimes les avions alors rejoins-nous et à bientôt! Comment t’inscrire ? • Sollicites ton inscription auprès de : • Monsieur VANACHTER, Directeur de l’Institution Notre-Dame de Grâce • Monsieur GLOBEZ, Adjoint de direction au Lycée • Monsieur VANDEPUTTE, Surveillant • Rédiges une lettre de motivation • Remplis une fiche d’inscription