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Institut des Hautes Etudes Commerciales de sousse (IHEC). Le contrôle dans le processus Managerial. www. Tun- Tirage .e-monsite.com. Réalisé par : Dhib ikram Hadroug amira Chabbah achref. 2011 / 2012. Définition (1). Le contrôle est le processus de gestion qui consiste à
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Institut des Hautes Etudes Commerciales de sousse (IHEC) Le contrôle dans le processus Managerial www.Tun-Tirage.e-monsite.com Réalisé par : Dhibikram Hadrougamira Chabbahachref 2011 / 2012
Définition (1) • Le contrôle est le processus de gestion qui consiste à évaluer le rendement des activités, à comparer ce rendement (ou résultat) aux objectifs et à prendre les mesures correctives nécessaires (s’il ya des écarts) • Le contrôle permet : - D’évaluer si les objectifs visés sont atteints, sinon pourquoi ? - Prendre les mesures nécessaires pour corriger les situations défavorables afin d’assurer l’atteinte des objectifs et la réalisation des plans d’action
Définition (2) Contrôler revient donc à s’assurer que le travail d’autrui progresse de façon satisfaisante vers les objectifs déjà fixés c’est-à-dire conformément aux plans établis • Nécessite l’évaluation de certains éléments tels que les ressources utilisées, le cout engendré et les délais afin de pouvoir les comparer aux standards préétablis (par les plans) • Si ces éléments ne concordent pas avec ce qui a été prévu, il convient de faire les ajustements nécessaires
Intérêt du contrôle pour l’entreprise (1) • Le contrôle permet aux gestionnaires de s’informer de façon continue de la conformité du déroulement des activités par rapport aux plans et de prendre les mesures correctives qui permettront de neutraliser les écarts éventuels • Il permet ainsi un suivi des autres fonctions du processus de gestion (planification, organisation, direction) • Il averti le gestionnaire de l’apparition éventuelle d’une situation non prévue ou non désirée C’est une activité continue, de prévention et non seulement de correction
Intérêt du contrôle pour l’entreprise (2) • Le contrôle peut être proactif, concomitant ou rétroactif : • Le contrôle proactif - Il s’agit d’un contrôle préliminaire effectué avant l’accomplissement de l’activité Ex : l’entretien d’une machine, la sélection des candidats, le contrôle et la qualité des matières premières ou les budgets constituent des contrôles proactifs
Intérêt du contrôle pour l’entreprise (3) 2) Le contrôle concomitant - Il s’agit des contrôles qui ont lieu pendant l’exécution de l’activité - Il permet la correction dès qu’un écart est décelé et avant même la fin de l’activité Ex: l’évaluation du rendement des employés
Intérêt du contrôle pour l’entreprise (4) 3) Le contrôle rétroactif - Il est effectué en fin d’activité - Il n’affecte pas les résultats présents mais il permet des ajustements utiles pour les activités futures. Ex : le contrôle de la qualité des produits finis Le contrôle aide l’entreprise à être compétitive et performante c’est-à-dire : • Une organisation est efficace si elle atteint ses objectifs • L’entreprise est efficiente si elle utilise le mieux possible ses ressources au moindre coût
Etapes du système de contrôle (1) Etablissement des standards • Un standard est un élément de référence auquel est comparé le résultat • Il doit être élaboré en fonction du résultat souhaité • Il doit se rapporter à un élément important dont l’existence conditionne le succès de l’ensemble • Il doit aussi être une synthèse de plusieurs observations
Etapes du système de contrôle (2) • Un responsable précis doit être associé au standard pour des conditions d'établissement optimales • Il faut tolérer une certaine marge d’écart par rapport aux standards car une opération peut être soumise à des conditions changeantes • Néanmoins, si le standard doit être flexible, il ne peut varier sans motif valable Le standard n’est que quantitatif donc il est préférable de trouver aussi d’autres indicateurs qualitatifs
Mesure de la performance après l’opération • Les mesures doivent être : • Fiables • Homogènes pour pouvoir être comparées dans le temps et économiquement
Comparaison des performances actuelles avec les standards • S'il n'y a pas d’écart, le processus s’arrête là • S'il y a des écarts : • Il faut en trouver la cause • Et ensuite appliquer des mesures correctives de façon à ce que les performances soient conformes aux plans • Ces mesures correctives se porteront sur les objectifs (modification du plan) ou sur le résultat
Mise en œuvre du contrôle (1) • 3 approches permettant d’éviter les effets pervers du contrôle • Approche du niveau d’aspiration • Approche par le contrôle de la variance • Approche participative
Mise en œuvre du contrôle (2) Approche du niveau d’aspiration - Cette approche suggère d’établir l’objectif en fonction du niveau d’aspiration du travailleur afin que l’effort demandé corresponde à ce que le travailleur désire psychologiquement réaliser Approche par le contrôle de la variance - Cette approche suggère de faire porter l’attention sur la variation de la performance d’une période par rapport à la suivante, plutôt que sur des niveaux absolus de résultat Cela empêche donc la fixation de standards inflexibles
Mise en œuvre du contrôle (3) Approche participative - Cette approche suggère la participation des travailleurs aux objectifs et donc la motivation pour la réalisation des objectifs en plus d'une réduction des sources de conflit grâce à l’amélioration de la communication
Schéma sur les facteurs de contrôle Quantité Coût Facteurs de contrôle Qualité Temps d’exécution
Sept qualités d'un système de contrôle efficace (1) • Le contrôle est un principe d’économie donc moins il faudra de contrôles, plus ils seront efficaces (économie) • Il doit avoir du sens : les faits mineurs ne doivent pas être mesurés, seuls les faits essentiels à l’atteinte des objectifs doivent faire l’objet de contrôles(signification) • Il doit correspondre au caractère et à la nature du phénomène mesuré (pertinence) • Il doit correspondre au phénomène mesuré (congruence)
Sept qualités d'un système de contrôle efficace (2) • Les contrôles doivent être synchronisés car il faut que la dimension temporelle des contrôles corresponde à la durée de l’évènement considéré (synchronisation) • Les contrôles compliqués sont inefficaces (simplicité) • Les contrôles doivent être opérationnels car ils doivent être centrés sur l’action (qualités opérationnelles)
Trois défauts majeurs possibles des systèmes de contrôle • Les contrôles risquent d’être non représentatifs des aires majeures du planning et du contrôle • Les contrôles peuvent s’avérer trop lourd et trop minutieux • Un contrôle peut être oppressif ou restrictif
Conclusion • Le contrôle de gestion ne doit plus seulement mesurer a posteriori • Il doit aider à la prise de décision tout au long du processus stratégique et opérationnel (exigence de flexibilité et de réactivité)
Conclusion Générale • La gestion peut se concevoir comme une démarche par laquelle les ressources humaines, physiques et financières sont coordonnées vers la réalisation d’un objectif • Cette démarche se traduit par un processus qui consiste à planifier, organiser, diriger et contrôler les activités de façon à en tirer un rendement optimal • Ainsi, l’entreprise puise ses ressources de son environnement qu’elle transforme, grâce à ce processus de gestion, en biens et services destinés à satisfaire un besoin dans l’environnement La planification, l’organisation, la direction et le contrôle constituent l’épine dorsale de la gestion processus universel
Bibliographie • Internet • Cours de l’année précédente