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Jean-Christophe pianiste classique. Né dans une famille de musiciens, Jean-Christophe débute le piano à l’âge de 4 ans avec une élève d’Alfred Cortot, assistante d’Yves Nat au CNSM.
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Jean-Christophepianiste classique Né dans une famille de musiciens, Jean-Christophe débute le piano à l’âge de 4 ans avec une élève d’Alfred Cortot, assistante d’Yves Nat au CNSM. Tout en poursuivant une formation classique en piano au conservatoire du XVème à Paris où il obtient un 1er Prix de la Ville de Paris, il étudie l’harmonie avec Janine Rueff et le contrepoint avec Bernard de Crépy. Parallèlement à ses études « classiques », il étudie les arrangements et l’orchestration au C.I.M. (l’Ecole Européenne de Jazz), la musique de films à l’Ecole Normale et suit des cours de composition, d’orchestration et d’improvisation avec Hervé Legrand. Il obtient sa première classe de piano à 20 ans et commence à la même époque une carrière de pianiste accompagnateur et arrangeur pour différents artistes sur les scènes françaises et dans les studios parisiens. Le début de la synthèse sonore et de la programmation sur ordinateur lui ouvrent de nouveaux horizons. Il compose des musiques pour la publicité, (SNCF, L’Oréal, EDF, Lancôme, Alstom, Maaf,Celerg, Fnaim), pour la télévision (Paris-Dakar, France Télévisions, La Chaine Parlementaire) et pour la radio. Au total, plus de 100 oeuvres sont éditées..
Jean-Christophepianiste classique En 1998, toujours attiré par de nouvelles expériences musicales, il intègre en tant que claveciniste l’ensemble Les Solistes Français que vient de créer son frère Paul Rouger avec qui il enregistre 5 CD et donne 70 concerts par an. La même année, il est nommé professeur de piano au Conservatoire Maurice Ravel de Levallois, titulaire depuis 2005. Il se produit dans différents ensembles instrumentaux au clavecin et aussi à l’orgue (Requiem de Fauré notamment). En 2005, il est engagé comme super soliste au clavecin à l’Opéra de Paris dans le ballet « Caligula » de Nicolas Le Riche. En 2006, il revient à ses premières amours dans un concert à l’Hotel de Ville de Levallois avec le Quintet pour piano et vents de Mozart. Son répertoire, très varié, s’étend de la musique baroque à la musique d’aujourd’hui.