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Plan. EpidmiologieDiagnostic cliniqueDiagnostic de laboratoireEvolution et complicationsTraitement . Epidmiologie. Gonococcie :Neisseria gonorrhoeae, diplocoque gram ngatifPrdominance IntracellulaireTransmission par contact direct (rapport sexuel)MST trs rpandue, pic en 1970, rductio
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1. Infections urogénitales à gonocoque et ChlamydiaetrachomatisItem 95 Carle Paul
Dermatologie, Hôpital Purpan, Toulouse
2. Plan
Epidémiologie
Diagnostic clinique
Diagnostic de laboratoire
Evolution et complications
Traitement
3. Epidémiologie Gonococcie :
Neisseria gonorrhoeae, diplocoque gram négatif
Prédominance Intracellulaire
Transmission par contact direct (rapport sexuel)
MST très répandue, pic en 1970, réduction puis augmentation depuis 1998
Développement de résistances à la pénicilline (15%), aux tétracyclines (20%) et à la ciprofloxacine (30%)
Chlamydia trachomatis
Bactérie intracellulaire obligatoire
Incidence 50 à 80 fois plus fréquente que la gonococcie
Prévalence de 2 à 10% chez l’adulte jeune
Fréquence du portage asymptomatique
4. Diagnostic clinique : Gonococcie Chez l’homme : 3 types d’atteinte
Incubation de 2 à 7 jours
Urétrite antérieure aigue : brûlures mictionnelles, écoulement purulent, inflammation du méat, risque de prostatite et d’épididymite
Rectite gonococcique : prurit anal, anite purulente, souvent asymptomatique
Oropharyngite : souvent asymptomatique
5. Urétrite gonococcique