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J’ai pris le temps de prendre le temps Tome 4. C’est la valeur qu’on vous donne qui conditionne la réalité. Tome 4. J’ai t ravaillé fort pour être un menteur crédible. Un cerveau qui veut être équilibré qu'il le soit. Jean Luc Archambault. Plan du livre. Remerciements Dédicace
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J’ai pris le temps de prendre le temps Tome 4 C’est la valeur qu’on vous donne qui conditionne la réalité
Tome 4 J’ai travaillé fort pour être un menteur crédible Un cerveau qui veut être équilibré qu'il le soit Jean Luc Archambault
Plan du livre Remerciements Dédicace Introduction Le bilan catastrophique de l’immigration Le Québec mérite la crème des immigrants Créer une télé réalité Le rapport de l’étude de l’Institut Fraser Il y a deux raisons d’être chouette : la bonne raison et la vraie raison. Le Moi inc. Sommaire
Remerciements Merci à Samia Abdelaziz, à Agnès Monseur, Jacques Reid et Benoît Allaire pour leurs précieux conseils et leur lucidité. Merci à Mathieu Laferrière, Rebecca Joblon, Mathieu Soulayres, Nacer Eddine Ziani, Monique Jutras, Manuel Robert, Ghassan Chemali, Bertin Godé, Marie Josée Plouffe, Arsène Melanoue,Mohamadou Doundèye, Réjean Leblanc, Hélène Chapart, Nacer Eddine Boulekfoul, Herbert Grubel, René Deschênes, William Arruda, Guillaume Labarthe, Denis Poirier, Suzanne Boulianne, Denys Allard, Dale Carnegie, Renaud Dugas, Dominique Crête, Cyril Arnaud, Alain Laferrière, AkilaChentir, Henri Yelle, Alexia Grenier, MladenLicul, EricCarioli, Christian Roy, Mathieu Massé, René Lahaie, Gisèle Brunette, Walid Gamoudi, Yves Tremblay, André Richard, Benoît Parent, Daniel Piaget, Jean Guy Leroux, Albert Einstein, Michael Gershon. Votre contribution a été tout simplement géniale. Merci aux nouveaux immigrants algériens et à l’Institut Fraser. Merci à mon comité de lecture qui m’a aligné. Merci donc à Agnès Monseur, à Samia Abdelaziz, à Jacques Reid et à Denis Poirier. Votre lucidité est une vraie bénédiction. Merci aux personnes que j’ai côtoyé lors de l’écriture de ce livre et aux nouveaux immigrants qui ont alimentés mes forums de discussions. Vos commentaires et recommandations confirment que vous êtes des personnes lucides. Je vous avais promis que j’écrirais ce livre. Le travail est fait. Le meilleur est à venir. J’ai certainement oublié beaucoup de monde et je m’en excuse. Jean Luc Archambault
Dédicace Je dédiece livre À ma mère Flore qui m’a dit un jour de miser sur la clé d’or et des valeurs sûres, comme la solidarité, l’entraide et le respect mutuel. À mon épouse Lise qui a fait preuve jusqu’à son dernier souffle, d’une détermination et d’un courage gravés à jamais dans mon coeur. À mes enfants Annick et Julie et à ma petite fille Magalie. Je vous aime beaucoup. Merci de me garder jeune. Aux ingénieurs, chimistes et technologues qui m’ont accordés leur confiance. Je vous remercie du fond du cœur. Votre solidarité me fait vibrer. Aux employeurs, aux candidats et aux partenaires d’affaires que j’ai mobilisés. Ne laissons personne nous dire qu’il est impossible de réaliser ce qui est écrit dans ce livre. On doit le faire car personne ne le fera à notre place.
Introduction Guy Chevrette : Vous m’avez suivi? Parfait ! Comme je le disais, on a le droit de se tromper et de se décevoir. Les nouveaux immigrants qui s’intègrent rapidement, suivent le bon chemin intuitivement plutôt que le mauvais logiquement. Ils savent ce qui alimente la frustration des cerveaux qui embauchent. Ils ne se posent pas les questions : "Pourquoi et à cause de qui?" Mais : "Comment faire et avec l'aide de qui?"
Les nouveaux immigrants qui ont fait des témoignages dans ce livre, savent que la course sera remportée par ceux qui iront jusqu’au bout. Jean Luc leur a enseigné à se passer de lui. Il a mis de l’essence dans leur réservoir et leur a donné une carte routière pour les aider à se rendre à destination. La vie de l’immigrant qui s’intègre rapidement se résume à douze éléments : redéfinir ses problèmes, analyser ses propres idées, faire connaître ses idées, admettre que son diplôme est un couteau à deux tranchants, surmonter les obstacles, prendre des risques, avoir la volonté d’évoluer, croire en lui-même, tolérer les ambiguïtés, trouver ce qu’il apprécie faire, le faire, s’autoriser à prendre le temps de prendre le temps et se donner le droit de faire des erreurs et des gaffes. La course est toujours remportée par celui qui va jusqu’au bout.
Le bilan catastrophique de l’immigration au Canada Kathleen Weil : En 2008, un haut fonctionnaire du Ministère de l’Immigration a présenté à Jean Luc le bilan catastrophique de l’immigration au Canada. Il lui a recommandé de jouer la carte de la solidarité, sinon les employeurs au Québec devront se contenter des miettes. Guy Chevrette : Le Québec doit attirer, accueillir et intégrer des immigrants qui ont du bon sens. On doit répondre à la demande cachée, c’est-à-dire aux besoins non comblés par l’offre actuelle. Un timide : Le Québecattire 50 000 nouvelles fraises par année mais il n’a pas le courage d’intégrer celles déjà ici !!! Samia : Bonté divine !!! Il lit dans mes pensées !!! Le timide : On doit se mobiliser avant que des nouvelles fraises se pointentici et non après. Dans la mesure où l'immigration est nécessaire, la priorité doit être accordée aux fraises équilibrées. Kathleen Weil : ‘’La vérité doit sortir du sac Michou. Fait plaisir au timide.’’ Guy Chevrette : La vérité sortira du sac et vous lui verrez la fraise !!!
Gérard Bouchard : Il y a trop d’immigrants au Québec dont la fraise n'a rien à voir avec les besoins des PME. Le processus de sélection doit être réaligné afin d’éviter le chaos. Guy Chevrette : Les PME n’ont pas besoin d’immigrants esclaves de leurs habitudes mentales. Le Québec en a déjà trop. Depuis le début des années 80, la majorité des immigrants s’installent à Montréal et à Laval et ce n’est pas demain matin que la situation changera. Un immigrant maghrébin : Il y a trop de maghrébins qui ne travaillent pas à Montréal et à Laval, leur taux de divorce est élevé et leurs enfants sont des clients des centres de corrections juvéniles.Jadis, les immigrants européens étaient une valeur ajoutée pour le Québec et leurs enfants et leurs petits-enfants ont réussi à s’intégrer et ils ont connu un rendement semblable à celui des québécois. Gérard Bouchard : Il n’y a aucune preuve jusqu’ici qui indique que cette tendance se maintiendra avec les maghrébins qui vivent d’importantes difficultés économiques, familiales et psychiques. Il est inutile d‘en attirer des nouveaux et de les entasser à Montréal et à Laval dans l’espoir que leurs enfants et petits-enfants sauront prendre leur place au soleil. Nous avons la preuve qu’ils échouent lamentablement depuis le début des années 80.
Un vieux-jeune : Misons sur les babys boomers qui veulent travailler !!! Samia : Bonté divine !!! Gérard Bouchard : Maintenant, parlons des algériens, des marocains et des tunisiens. Ils ont une chance de prouver qu’ils peuvent se mobiliser. Samia : Bonté divine !!! Tout est dit.
Témoignages Mathieu Laferrière : La solidarité est la pilule à prendre. Je vous la recommande sans hésitation. Rebecca Joblon : La solidarité incite à avoir la bonne attitude. J’y entrevois une véritable logique. Mathieu Soulayres : La solidarité remet les idées en place face au marché de l'emploi et à nous même. Nacer Eddine Ziani: Chaque immigrant doit suivre une formation pour comprendre les enjeux de la diversité culturelle et apprendre à tisser des liens durables avec les employeurs. Monique Jutras: Nous avons la liberté et les talents pour bâtir un pont de solidarité avec les chefs d’entreprises ayant des emplois cachés à combler. Manuel Robert: On doit faire comprendre aux immigrants que les employeurs recherchent des talents qui font une différence. Ghassan Chemali: Chaque immigrant a un travail sur soi à faire avant d’entrer sur le marché du travail.
Bertin Godé: Faite preuve de courage, de patience, d’honnêteté et d’abnégation car la réussite est à l’image des efforts fournis. Marie Josée Plouffe: Soyez honnête et naturel, sinon votre immigration sera un cauchemar. Je vous recommande de suivre les conseils de votre mentor. Arsène Melanoue: Vous ne pouvez imaginer quelle joie m’anime. Je resterai impliqué et je suis prêt à faire des témoignages qui pourraient encourager les nouveaux immigrants à persévérer. Mohamadou Doundèye: Je pensais connaître le marché de l’emploi. Pour y entrer, il faut d’abord connaître sa vraie valeur. C’est ce qui manque aux jeunes diplômés et aux nouveaux immigrants.
Deux exemples d’intégration réussie Si votre immigration est planifiée et structurée, votre intégration peut se faire en deux semaines. J’en suis la preuve vivante. Votre réussite doit être fondée sur la confiance et l'échange. Soyez fiers de prendre votre place dans votre nouvelle patrie. Jean Luc m'a donné une réelle énergie. Il m'a fait croire en mon rêve mais surtout il me l'a concrétisé. Son savoir m'a été d'une aide cruciale. Le fonctionnement du marché de l'emploi au Québec étant différent du système français, mes démarches ont pu de ce fait aboutir. La base de cette réussite est fondée sur la confiance et l'échange: on doit être à l'écoute et savoir se faire entendre par son interlocuteur. Je souhaite à quiconque d'avoir la chance un jour de faire la connaissance de cet homme aux vertus généreuses, avec qui, j'ai établi une relation amicale et professionnelle de qualité et en qui j'ai une totale confiance. J'aimerai vous faire part du proverbe qui me fait vivre quotidiennement : ‘’Il ne faut pas confondre rêver sa vie et vivre ses rêves.’’ Hélène Chapart
J’ai connue la triste réalité de l’immigration au Québec. Il ne suffit pas de prendre l’avion, de passer les formalités aux douanes et à l’immigration pour dire qu’on est arrivés au Québec. Les changements sont à l’intérieur du Moi inc. C’est un travail au quotidien et surtout la victoire de toute une vie. Il ne faut jamais oublier que tout part de soi. Étant immigrants mon mari et moi, originaires d’Algérie, nous avons subit pendant trois années la triste réalité et le désappointement de l’immigration. Nous avons suivis les ateliers de Jean Luc et nous n’avons point été désappointés, bien au contraire. En quelques mois, nous avons su prendre le taureau par les cornes et réalisés certains de nos rêves. Nous avons appris que peu importe l’origine, l’éducation ou la culture, la seule chose qui importe est la façon de gérer son savoir être et son savoir faire. Jean Luc est un homme franc, direct, sans équivoque, son intensité peut paraître brutale pour celui qui ne le connaît pas mais elle est essentielle pour celui qui veut sortir de son isolement, avancer et faire de son immigration une parfaite réussite car comme on dit, ça passe ou ça casse. Ses ateliers vous permettront de découvrir vos talents cachés et votre vraie valeur, vous équiper intelligemment, prendre votre place, faire du réseautage responsable, vous vendre et décrypter les emplois cachés dans la tête des employeurs. Les ponts que nous avons bâtis avec lui sont solides et porteurs d’espoir. Il fait partie des personnes chaleureuses, généreuses, qui donnent de leur temps, de leur énergie et de leur passion sans rien attendre en retour.
Donner au suivant est la plus belle valeur à préserver au Québec. Nous souhaitons aux immigrants déterminés et passionnés de réussir leur intégration au Québec. Il ne suffit pas de prendre l’avion, de passer les formalités aux douanes et à l’immigration pour dire qu’on est arrivés au Québec. Il faut s’armer de patience, de courage et de persévérance. Nous pouvons vous assurer que ses ateliers renforceront votre détermination et vous apprendront à gérer votre savoir faire et votre savoir être.Le Québec est une terre d’accueil hospitalière et ouverte à la différence, son multiculturalisme en fait sa force, et chacun peut y trouver sa place à condition d’être bien préparé. Henri le Saux dit : Le soleil ne se lève que pour celui qui va à sa rencontre. Samia Abdelaziz
Samia et son mari Toufik veulent aider les nouveaux immigrants algériens à s’intégrer. Jean Luc leur a demandé de bien y réfléchir et de s’assurer que les raisons qui les motivent, soient solides. Jean Luc leur a dit : Êtes-vous assez motivés pour apprendre? Voici les arguments que Jean Luc a utilisés pour les motiver : La pire erreur que vous pouvez faire est d’attendre que quelqu’un d’autre les aident à votre place. N’ayez pas peur d’offrir vos services aux nouveaux immigrants algériens qui ont du bon sens. Vous avez immigrés en 2004 et vous êtes sortis du Bien Être Social en 2007. Depuis 2008, vous avez réalisés certains de vos rêves. Jean Luc a ensuite dit à Toufik: Tu as une tête sur les épaules et du cœur au ventre. Il a dit à Samia : Tu es une battante et tu sais faire gros avec pas grand chose. Ils se sont regardés dans les yeux et ils se sont dit : prenons le temps de l’écouter. On n’a rien à perdre et tout à gagner. Jean Luc leur a dit : Je sais que vous savez quoi dire aux nouveaux immigrants algériens pour qu’ils comprennent que le Québec n’est pas le paradis sur terre. Vous savez aussi comment faire pour retirer la corde invisible qui les garde esclaves de leurs habitudes mentales. Vous pouvez le faire car vous l’avez vécu. Parlez-vous et ensuite parlez à des personnes en qui vous avez le plus confiance afin d’avoir leur avis.
Posez-leur ses questions : • Quels sont les besoins des nouveaux immigrants? • Qu’est-ce qu’ils aimeraient recevoir comme services sur mesure? • S’ils devaient revenir au Québec, que feraient-ils différemment? • Quels services leurs offrir pour les bichonner et non les bouchonner? • Les nouveaux immigrants algériens méritent-ils vos services? Les réponses que vous aurez vous aideront à prendre la bonne décision. Vous devrez préparer un plan de travail et un budget. C’est indispensable pour voir clair. Il vous faudra savoir combien d’argent emprunter pour démarrer votre entreprise. Prenez votre temps pour bien compter et assurez-vous d’intégrer toutes les charges et une marge de sécurité pour les charges supplémentaires imprévues. Vous devez savoir d’où proviendra l’argent nécessaire pour financer votre entreprise. Avez-vous besoin d’un prêt? Avez-vous besoin d’une marge de crédit? Pouvez-vous emprunter de l’argent à des membres de votre famille ou à des amis? Il vous faut connaître les réponses à ces questions étant donné que le flux de trésorerie est vital pour une entreprise.
Mettez vos idées par écrit et posez-vous ses questions : • Que voulons-nous vendre et à quel prix? • Qui seront nos clients? Où allons-nous les rencontrer? • Combien de temps faudra-t-il pour conclure une vente? • Combien de temps faudra-t-il pour être payé suite à une vente? • Combien d’immigrants sont prêts à payer pour utiliser nos services? Le fait de mettre votre projet par écrit vous permettra de décrire les besoins non comblés par l’offre actuelle, c’est-à-dire la demande cachée. Vous devez répondre uniquement à la demande cachée. Si vous devez emprunter de l’argent, vos prêteurs voudront la comprendre cette demande cachée. Alors, il vaut mieux écrire votre plan de travail et établir vos prévisions budgétaires avant de rencontrer votre banquier. Toufik a dit, on fait ça comment Jean Luc? Jean Luc lui a répondu : Consultez des gens qui peuvent vous aider à développer votre plan de travail. Je connais des gens qui peuvent vous aligner et vous aider à financer votre entreprise. J’ai aussi des contacts qui peuvent vous référer des clients.
Si vous n’êtes pas à l’aise pour recruter des clients, qui vous trouvera des clients? Vous devez réfléchir à cette question parce que si vous n’avez pas de clients, vous n’avez pas d’entreprise. Peut-être devrez-vous suivre un cours et lire quelques livres sur l’entreprenariat? Pensez à autant de problèmes et d’obstacles que possible et à la façon d’y faire face. Des événements imprévus vont se produire. Prenez le temps de cibler vos clients. Concentrez-vous sur une ou deux choses pour établir votre marque. Répondez à la demande cachée et soyez à l’écoute de vos clients. Rome ne s’est pas bâtie en un jour. Il vous faudra du temps pour développer votre plan de travail. Ne soyez ni trop optimiste ni trop défaitiste. Vous travaillerez plus d’heures que vous ne le pensiez. Assurez-vous d’être mentalement et physiquement prêt avant de commencer. Gardez vos emplois actuels et prenez les bouchées doubles aussi longtemps que possible. Mettez-vous d’accord avec vous-même et avec vos deux enfants. Vous avez toujours travaillé dans un milieu où on prenait les décisions pour vous. Vous devez réapprendre à travailler et à prendre vos propres décisions.
Votre métier de parents vous sera utile. Donnez en impartition les travaux qui ne relèveront pas de votre domaine et faites des ententes avec certains de mes contacts pour ces travaux. Demandez à des experts dans leur domaine de vous aider afin d’être concentré sur ce que vous faites le mieux. Lorsque vous serez prêts à me présenter votre plan de travail, trouvez-vous un nom d’entreprise qui sera collé dans le cerveau de vos clients. Mais il y aura des gens qui tenteront de vous décourager. Soyez prêt à travailler fort. Ne laissez personne vous dire que c’est impossible. Guy Chevrette : On devrait investir dans ce projet !!!
Le Québec mérite la crème des immigrants Guy Chevrette : Le Québec doit attirer, accueillir et intégrer la crème des immigrants qui doivent répondre aux besoins non comblés par l’offre actuelle. Il est inutile d’attirer 50 000 nouveaux immigrants par année, si on n’a pas le courage d’intégrer ceux déjà ici. Gérard Bouchard : Le temps est venu de parler aux employeurs avant que les nouveaux immigrants arrivent ici et non après. Dans la mesure où l'immigration est nécessaire, la priorité doit être accordée aux immigrants équilibrés. François Legault : Il y a trop de nouveaux immigrants dont les talents n'ont rien à voir avec les besoins des PME. Le processus de sélection doit être réaligné afin d’éviter le chaos. Trop d’immigrants ont les deux pieds dans la même bottine. Le Québec en a déjà trop. Claude Béland : Ce n’est pas demain la veille qu’ils s’intègreront. Pauline Marois: Le travail à faire est énorme, mais quel beau défi. Les nouveaux immigrants doivent tout faire dans leur pays d’origine, et ce sans compromis, pour mettre leurs babines dans la même direction que leurs bottines. Françoise David : Mieux vaut une vérité qui fait mal, qu'un mensonge qui réjouit. Samia: C’est clair.
Guy Chevrette : Depuis le début des années 80, il y a au Québec un déplacement vers l’industrie du Savoir. Le traitement de l’information, la capacité à analyser et à transmettre de l’information est capitale pour travailler au Québec. Dans l’industrie du Savoir, nous avons besoin d’individus responsables, intègres, autonomes et équilibrés. Samia : L’offre de formation, de coaching et de mentorat doit répondre à la demande cachée pour attirer, accueillir et intégrer les nouveaux immigrants. Gérard Bouchard : La majorité des nouveaux immigrants sont honnêtes dans leur intention de s'installer au Québec. Ils veulent se bâtir une meilleure vie et mettre l’épaule à la roue. Françoise David : Les nouveaux immigrants qui désirent être autonomes rapidement, doivent être évalués dans leur pays d’origine. Les employeurs et les forces vives du marché du travail doivent s’en charger. François Legault : Jadis, les immigrants européens étaient une valeur ajoutée pour le Québec et leurs enfants et leurs petits-enfants ont réussi à s’intégrer et ils ont connu un rendement semblable à celui des québécois.
Samia : Il n’y a aucune preuve jusqu’ici qui indique, que cette tendance se maintiendra avec les nouveaux immigrants qui vivent d’importantes difficultés économiques, familiales et psychiques qui les gardent esclaves de leurs habitudes mentales. Une triste vérité qui vient de sortir du sac. Gérard Bouchard : À la suite de la débandade de notre système d’immigration, d’éducation et de santé, à la ghettoïsation et à la pauvreté grandissante chez les nouveaux immigrants, il y a un risque réel que leur capacité d’encourager leurs enfants à réussir dans la vie, soit compromise et que la pauvreté s’enracine dans la région de Montréal et qu’elle persiste dans les prochaines générations. Guy Chevrette : Misons sur les babys boomers qui veulent travailler.Ayons la décence d’optimiser leur potentiel avant qu’ils prennent leur retraire définitivement. François Legault : Mais il y a des conditions à respecter et des mythes à casser. Les babys boomers ne supportent pas d'être bousculés et ils ne veulent pas bousculer qui que ce soit. C’est un trait de leur maturité et de leur sagesse. Les babys boomers détestent les gens Irrespectueux et irresponsables qui malheureusement font légion au Québec.
Françoise David : Les babys boomers ont la foi qui les prend aux tripes. Leur foi est « crois en toi ou écrases toi! » Samia : La liberté des babys boomers a un prix que les jeunes aujourd’hui ne comprennent pas. Guy Chevrette : En effet. La liberté pour un baby boomer signifie la responsabilité d'être entièrement soi et d'assumer des choix, les bons comme les mauvais. Mais quand on est libre, on ne fait pas ce qu'on veut. Gérard Bouchard : ÊTRE LIBRE signifie pour un baby boomer, de gagner sa vie dans des conditions qu’il a choisies. Les babys boomers doivent faire quelque chose, car leur solitude est immense. Si à compter d'aujourd'hui, les babys boomers décidaient de se saluer à nouveau et d’ouvrir leur cœur, je vous garanti que nous serions plus heureux au Québec! Il suffit que ce texte se passe des uns aux autres, pour que tous ensemble, on se décide à reprendre le haut du pavé! Jean Luc, j’ai encore des choses à dire sur les babys boomers mais je préfère y revenir dans le tome 5. ‘’OK Michou.’’
Maintenant, je vais parler des nouveaux immigrants algériens, marocains et tunisiens. Ils ont une chance de prouver qu’ils peuvent se mobiliser car une étude confirme que le taux de chômage des algériens, établis au Québec depuis 2006, est à 35,4 %. Je vais aussi prendre le temps de leur donner de l’énergie positive. François Legault : C’est triste à dire, mais ils ne réalisent pas que la notion de travail est différente entre l’Algérie et le Québec. Ils s’imaginent qu’un travail les attend ici. Ceux qui ne veulent pas comprendre doivent s'en prendre qu'à eux-mêmes. Deux choses les caractérise : Ils comprennent que ce qu’ils veulent comprendre et ils ont la réputation d’être des menteurs. Samia : Si au moins ils étaient des menteurs crédibles !!! Françoise David : Lorsqu’ils parlent en anglais, ils ont peur de faire rire d’eux car cela blesserait leur orgueil mal placé. Ils ne réalisent pas qu’ils ne sont qu’une goutte d’eau dans un océan d’anglophones. Gérard Bouchard : Je n’ai rien contre le gouvernement du Québec qui attire des immigrants algériens francophones dans un océan d’anglophones, mais le gouvernement doit avoir la décence de leur dire d’apprendre l’anglais avant d’arriver ici.
Françoise David : Actuellement, le gouvernement du Québec attire des milliers de nouveaux immigrants algériens francophones et ensuite il subventionne des cours pour leur faire apprendre l’anglais. Gérard Bouchard : Je comprends le rêve des nouveaux immigrants algériens, mais je comprends aussi que se remettre en question, est impensable pour eux. Guy Chevrette : L'essentiel n'est pas ce qu’on leur a fait, mais ce qu'ils font avec ce qu’on a fait d’eux. S’ils ne veulent pas qu’on leur retire la corde invisible qui les garde esclaves de leurs habitudes mentales, qu'ils le disent. Samia : La balle est dans leur camp. Maintenant le temps est venu d’aider les employeurs à attirer, accueillir et intégrer les nouveaux immigrants algériens qui ont du bon sens. D’abord, on doit répondre à la demande cachée, ensuite, les entraîner à développer leur relationnel et les aider à être autonomes, équilibrés et libres. Samia : Les nouveaux immigrants algériens doivent avoir un coach de vie, un coach professionnel et un mentor. Sinon, ce n’est pas la peine d’essayer de les intégrer. La partie est perdue d’avance. Une belle vérité qui vient de sortir du sac.
Ceci étant dit, je propose aux nouveaux immigrants algériens, un projet qui me tient à cœur. Un projet pilote d’une durée d’un an, en partenariat avec des entreprises attirantes. Prenons les nouveaux immigrants algériens qui ont de l’expérience en génie civil et qui travaillent au salaire minimum. On leur expliquerait nos critères et nos conditions et ils prendraient connaissance de notre programme d’intégration professionnelle. Ils pourraient travailler comme surveillants de chantier et gagner de 20 000 à 30 000 $ de plus par année. L’investissement pour eux serait de X $, et ils comprendraient que des employeurs leurs offriront un travail dans leur domaine. Ils rembourseraient leur emprunt de X $ sans intérêt, sur Y années. Tous y gagnent. Samia : Mais il y a des conditions à respecter. En effet. Il y a deux conditions à respecter. Les nouveaux immigrants algériens doivent prendre le temps de se chrysalider et les employeurs, d’écouter. Plusieurs employeurs ont donnés une chance à des nouveaux immigrants algériens et aujourd’hui ils en payent le prix. Samia : On se casse la tête pour trouver des solutions. La majorité des nouveaux immigrants algériens réussissent à se chrysalider, mais, leurs corps sont tellement maigres et engourdis et leurs ailes sont si peu développées, qu’elles bougent à peine. Ils n’ont pas la force de prendre leur envol. Samia : Plusieurs font des petits boulots ou végètent sur l’Aide Sociale.
Créer une télé réalité Le moment est venu de vous parler d’une télé réalité pour aider les nouveaux immigrants algériens à s’intégrer. Dans cette télé réalité, je veux qu’ils réalisent qu’ils se content des histoires depuis plus de trente ans. Même si je connais la réponse, je veux qu’ils disent pourquoi ils ont autant de difficultés à prendre leur envol. La télé réalité leur permettra de partager des petites choses qui les caractérisent, comme par exemple leur naïveté, leur inquiétude maladive, leur lacune en communication, leur difficulté à créer des ponts de solidarité avec des réseaux établis, leur manque d’authenticité et de positivisme, leur crainte de travailler en région et d’admettre que les employeurs n’ont pas besoin d’eux à tout prix. Dans la télé réalité, je veux qu’ils partagent des petites choses concernant leur comportement erratique dû à leur orgueil mal placé et au colonialiste français qui les a divisés. Plusieurs sont des gros parleurs et leur relationnel est déficient. Ils ont une intolérance envers les autres et peurs d’être « à contre coran ». Je veux aussi que la télé réalité les aide à trouver leur identité, à se connecter aux forces vives du marché avant leur arrivée à Montréal, à expérimenter par le travail le contraire de ce qu’ils croient, et à résister au désir de choisir l’Aide Sociale comme style de vie. Samia : La télé réalité les aidera à comprendre les mauvais plis qu’ils ont pris. Voilà une belle vérité qui vient de sortir du sac.
Les nouveaux immigrants algériens ‘’perfectionnistes’’ auront leur mot à dire dans la télé réalité. Le travail à faire sur eux-mêmes est satisfaisant s’il est complété à 80%. Le 20% restant demanderait trop d’effort et il n’est pas nécessaire pour l’instant. Ils doivent admettre que la suranalyse, les paralysent. Samia : Ils sont capables de l’admettre. En principe, oui, ils sont capables de l’admettre, mais la motivation n’est pas la même d'une personne à l'autre. Ils peuvent le faire s’ils sont imputables de leurs actes. Samia : Mais c’est impossible, s’ils croient que c’est de la faute des autres et si leur motivation est faible ou que leur source d’énergie est mauvaise. Tu m’enlèves les mots de la bouche Samia. Les hommes algériens seront mis en valeur dans la télé réalité. Ils auront une occasion unique de réagir comme dans l’histoire des sachets de thé dans le chaudron d’eau bouillante.
La télé réalité démontrera que ces trois hypothèses sont fausses : • Le niveau de scolarité élevé des immigrants algériens favorise leur intégration. • Les gros diplômes obtenus par les immigrants algériens leurs donnent accès au marché du travail. • Plus leur niveau de scolarité est élevé, plus leur taux de chômage est faible. L’animateur de l’émission invitera les nouveaux immigrants algériens à faire des choix et à les assumer. Ceux qui veulent être PICHOU (Peureux, Inquiets, Cuits, Honteux, Outrés, Usurpés), qu'ils le soient. Ceux qui veulent être CHOUETTE (Conscients, Heureux, Organisés, Unis, Équilibrés, Tenaces, Travaillants, Efficients), qu'ils le soient. L’animateur de l’émissionfera sortir des nouveaux immigrants algériens de leur cocon. Leur besoin d’estime de soi n’émergera pas, si leurs besoins de sécurité et d’amour ne sont pas comblés. Si leur besoin d’estime de soi n’est pas satisfait, leur besoin de réalisation de leur potentiel est une utopie. L’animateur de l’émission nous fera aussi pendre conscience de la richesse que les femmes algériennes portent en elles. Elles sont un capital humain d’une valeur inestimable. Celles qui ont des enfants, veulent une carrière. Celles qui ont une carrière, veulent des enfants. Samia : C’est le meilleur des deux mondes. Des hommes algériens prendront le temps de se regarder dans un miroir. Autour du miroir, il y aura des slogans, tels que : Mets-toi au travail. Cultive ton relationnel.
Le temps est venu de fouiller dans le cerveau des nouveaux immigrants algériens. Voici avec une pointe d’humour, ce que je vois dans leurs cerveaux. • Ils savent que nos méthodes de travail ne sont pas définies pour leur faire plaisir. • Ils savent que leur relation avec leurs collègues de travail est limitée par leurs agissements, leurs croyances et leur culture. • Ils savent qu’ils peuvent écouter la musique ou pratiquer la religion de leur choix et que les québécois n’ont pas à les subir. • Ils savent que les employeurs québécois sont tolérants envers eux. • Ils savent qu’ils sont perdants s’ils jouent avec les nerfs des employeurs. • Ils savent que les employeurs embauchent des débrouillards capables d’apprendre à bien travailler. • Ils savent qu’ils ne doivent pas répondre « il n’y a pas de problème ». S’ils ne savent pas, ils le disent qu’ils ne savent pas. • Ils savent qu’il n’y a pas de gêne à dire la vérité en regardant leur interlocuteur dans les yeux. • Ils savent que la crédibilité se perd facilement si on doute de leur honnêteté. • Ils savent qu’ils doivent être allumés et fiers de relever des grands défis dans des petits boulots. • Ils savent qu’un jour, ils seront embauchés pour un vrai travail s’ils sont tenaces et équilibrés. • Ils savent que leur valeur dépend de leur savoir-être dans un marché du travail un brin perturbé.
Le rapport de l’étude de l’Institut Fraser Deux chercheurs de l’Institut Fraser ont pris le taureau par les cornes L’Institut Fraser a publié cette étude sur le coût de l’immigration au Canada. Mais cette étude est passée inaperçue au Québec.
À partir données du recensement de 2006, on a analysé les revenus et dépenses en taxes et impôts de 844,476 individus, soit 2,7% de la population canadienne. En 2005, les nouveaux immigrants arrivés au Canada entre 1987 et 2004 avaient un revenu moyen de 25,396$ ; ils payaient 3,438$ en impôts. Les Canadiens avaient un revenu moyen de 35,057$ et payaient 5,995$ en impôts. Les nouveaux immigrants gagnaient donc seulement 72,4% du revenu des Canadiens et ne payaient qu’un peu plus de la moitié des impôts (57,3%) payés par les Canadiens. Pendant qu’un Canadien gagnait 1000$, le nouvel immigrant en gagnait 724$. Pendant que le Canadien payait 100$ d’impôts, le nouvel immigrant n’en payait que 57$. L’étude a analysé toutes les autres taxes. Les nouveaux immigrants paient en moyenne 10,340$ contre 16,501$ pour les Canadiens. La combinaison des taxes et impôts payés vs les bénéfices reçus pendant l’année fiscale 2005/06 a occasionné un transfert fiscal de 6051$ en faveur des nouveaux immigrants comparés aux Canadiens. Voici le cœur du problème selon l’Institut Fraser : les revenus gagnés par les nouveaux immigrants sont trop bas. Ils ne paient pas assez d’impôts et de taxes pour équilibrer le système. Assumant qu’un immigrant passe 45 ans au Canada avant d’y mourir, il recevra donc, en bénéfices nets, la somme de 272,295$. On sait que la plupart des nouveaux immigrants viennent de pays où le PIB per capita est inférieur à 10,000$. On peut donc dire qu’ils ont gagné le gros lot! Comme 3,9 millions de nouveaux immigrants sont arrivés au Canada entre 1987 et 2004, pour l’année fiscale 2005/2006, ils ont coûté la somme fabuleuse de 23,6 milliards! Combien pour le Québec? L’étude ne le mentionne pas. On sait que le Québec accueille moins de 20% des immigrants au Canada. On sait aussi qu’ils gagnent moins au Québec qu’au Canada et qu’ils chôment plus ici. On peut donc supposer que leurs revenus sont inférieurs à la moyenne canadienne qui est de 72%. Avec de plus petits revenus, ils paient moins d’impôts et de taxes que les immigrants du reste du Canada. On sait que le Québec a des programmes sociaux beaucoup plus généreux que dans les autres provinces du Canada. On peut donc conclure que les nouveaux immigrants ont coûtés aux contribuables québécois plus de 5 milliards de dollars en 2005/06.
On doit repenser le processus de sélection des immigrants pour qu'ils répondent mieux aux besoins du marché du travail, a conclut l'Institut Fraser. Il est clairement mentionné dans l’étude que ce travail peut être fait plus efficacement par les employeurs et les forces vives du milieu. En résumé, les nouveaux immigrants gagnent en moyenne 72 % du revenu des autres Canadiens, paient environ la moitié de l'impôt que versent les autres contribuables, mais bénéficient à peu près des mêmes services publics. « Ils imposent un lourd fardeau fiscal aux contribuables canadiens », estime Herbert Grubel, coauteur de l'étude. Le processus de sélection devrait miser davantage sur les besoins des employeurs. Monsieur Grubel recommande entre autre de : • Fournir des visas de travail temporaires aux candidats ayant reçu une offre pour un emploi dont le salaire égale minimalement la médiane de la province où ils travailleront; • Limiter la validité des visas de travail à deux ans et en permettre le renouvellement pour deux autres années si la personne occupe toujours un emploi; • Donner un délai de trois mois aux détenteurs de visa qui perdent leur emploi pour en trouver un nouveau; • Offrir un visa permanent aux détenteurs d'un visa de travail qui occupent un emploi de manière continue pendant quatre ans.
Témoignage Après 15 ans d’immigration essentiellement en provenance du Maghreb, l’intégration des nouveaux immigrants est un échec généralisé sur le plan de l’emploi. En raison du déficit démographique qui frappe le Québec, les immigrés devaient représenter la relève pour les employeurs québécois et être une richesse pour le Québec par leurs contributions en impôts et taxes. On est bien loin du compte. Le rapport d’étude de l’Institut Fraser le confirme. Nous n’attirons pas les talents dont l’économie québécoise a besoin. Le constat est que les nouveaux immigrants sont mal informés de la situation de l’emploi au Québec. Leur perception du Québec y compris le marché nord américain est erronée. Ils sont souvent totalement déstabilisés par le constat des premiers jours dans leur nouvelle terre d’accueil. Les talents venus d’ailleurs ne sont pas assez équilibrés de sorte qu’ils éprouvent de la difficulté à garder un emploi valorisant plus de 3 ans. Au-delà de cette période, une grande portion des immigrants se retrouvent sur l’Aide Sociale, et le manque d’argent engendre des problèmes sociaux importants dans les communautés d’immigrés : chômage, divorce, violence familiale, des enfants avec des problèmes de délinquance. Les femmes immigrantes réussissent mieux que les hommes à s‘intégrer dans leur milieu de vie et de travail; elles utilisent le bénévolat pour établir des contacts et participer à la vie de leur quartier. Elles semblent plus résilientes que les hommes. L’intégration des nouveaux immigrants représente une problématique croissante très importante au Québec. Si on se réfère à ce que la France vit aujourd’hui, il faut s’attaquer aux solutions maintenant avant que cela devienne une plaie sociale et un cauchemar économique pour le Québec. La commission Bouchard-Taylor a touché tout le Québec et a soulevé l’ire des Québécois de souche. Cela n’a rien réglé à part le fait que nous sommes dans un terreau à problèmes sociaux très fertile.
Le comité de travail qui a créé la Mutuelle de formation REPCIT, croit fermement qu’il y a une opportunité extraordinaire de dénoncer cette situation et d’amener des solutions pratiques pour résoudre les problématiques qui se rattachent aux nouveaux immigrants et à l’emploi. Le comité base son raisonnement sur le fait que l’absence de travail chez les hommes immigrants engendre un effet domino des problèmes sociaux majeurs dans leur communauté. Nous pensons qu’il y a plusieurs façons de traiter le sujet à travers divers angles. Nous souhaitons débuter par l’angle de l’employabilité des talents d’ailleurs et des talents d’ailleurs nés ici. Plusieurs immigrés ici depuis 5, 10 et 15 ans veulent témoigner sur ce qu’ils ont vécu et vivent, sur comment on pourrait améliorer les choses pour faciliter l’intégration des immigrants et leurs familles. Nous savons quoi faire pour que l’immigration soit une richesse plutôt qu’un fardeau, comme c’est le cas actuellement. Nous aimerions produire du matériel audio-visuel pour informer et éduquer les immigrants avant qu’ils arrivent au Québec. On doit leur expliquer les conditions du marché du travail au Québec. Ils doivent comprendre que 40 heures/semaine, ce n’est pas de l’exploitation. On doit aussi leur expliquer la laïcité de l’État et des institutions québécoises. On doit expliquer aux employeurs québécois qu’ils doivent entrevoir des talents d’ici et d’ailleurs plutôt que des immigrants. Les employeurs doivent apprendre à encadrer et à diriger ces talents. Le matériel produit sera très utile dans les écoles, dans les bureaux du Québec à l’étranger, dans les ambassades canadiennes, dans les bureaux d’Emploi Québec et du Ministère de l’Immigration, dans les bureaux des syndicats et des associations de travailleurs.
Les autres angles sont les problèmes sociaux chez les immigrants, pratiquer sa religion et vivre dans une société qui se dit laïque, la discrimination raciale, la comparaison des niveaux d’intégration par source d’immigration (Maghreb, Moyen-Orient, Haïti, Afrique, Europe de l’Est, l’Asie et du G8. Plusieurs instances gouvernementales et privées sont intéressées à participer financièrement au projet car nous sommes en face d’un projet de société parce que les problèmes issus d’une mauvaise immigration touche tout le monde. René Deschênes
Le Moi inc. Le concept du Moi inc. permet de faire de votre nom une référence dans votre profession. L’inventeur du concept du Moi inc., William Arruda, a développé un processus en trois étapes permettant de découvrir, communiquer et cultiver son Moi. C’est le résultat de 20 années d’expertise en Branding d’entreprise, appliquées au nouveau monde du travail et aux défis auxquels on doit faire face pour être quelqu’un. Voici une méthode simple et logique pour développer son Moi inc. Samia : Pourquoi développer mon Moi inc.? Je ne suis pas une consultante ni un produit en vente sur une tablette au supermarché. Le Moi inc. n’est pas réservé au consultant. Il sert aussi au salarié qui veut offrir ses services à un employeur. Il permet de faire le point sur ce qu'on peut apporter à une autre entreprise. Ici, il ne s'agit pas d’être un « produit » pas plus qu'une « star ». Il s'agit juste d’être. Ce n'est pas pour être meilleur que les autres. C'est un cheminement pour trouver sa place. On sait ce qu'on apporte et on n'empiète pas sur les autres. Faire le point sur son Moi inc. ce n’est pas qu'un simple bilan personnel et professionnel. C’est l’élément déclencheur de la connaissance de soi, de l’art d’avoir des vraies conversations et du marketing de soi. Il permet de cibler les ressources positives pour avancer dans la bonne direction. Il s'agit d'étudier son parcours professionnel et personnel en valorisant chacune de ses expériences. Cela ne sert à rien de se présenter à une entrevue si on ne se connaît pas. Vous savez qu’il y a quatre profils types d’individu : lièvre, tortue, écureuil et hibou. La principale caractéristique du processus d’indentification de son profil d’individu résulte dans sa finalité. Une fois qu’on a identifié son profil d’individu, on fait en sorte que son Moi inc. soit reconnu. On a des cartes d’affaires à notre image, on fait partie d’un bloque et d’un réseau professionnel. Toutes les options qui ont du bon sens sont permises. Votre Moi inc. est authentique et cohérent avec vous-même. On vous reconnaît et ça se sent dans votre façon d'être. Vous impactez la relation avec les personnes que vous rencontrez.
Derrière le Moi inc. il y a la marque, le pouvoir du nom, le pouvoir d'être sollicité pour ce que vous apportez. Le Moi inc. n'est jamais terminé. C'est un processus inconscient qui évolue au fur et à mesure d'une carrière et d'une vie, qui devient une œuvre. Jean Luc accompagne depuis plusieurs années des salariés et des travailleurs autonomes dans leur démarche de développement de leur Moi inc. Il prend d’abord le temps d’établir une relation de confiance. Ils n’ont pas besoin de changer de coiffure, de vie ou de personnalité. Il les fait juste se sentir bien avec eux-mêmes. Le développement du Moi inc. est une façon logique de faire une mise au point. Quand on réfléchit à son Moi inc., on regarde ses acquis. On cherche ses points forts et ses talents. On réfléchit des compétences que l'on doit développer et on se met en accord avec ses valeurs. Une notion qui prend de plus en plus de place avec l'expérience. On n’accepte pas n'importe quoi dans sa vie professionnelle, même si on ne sait pas toujours pourquoi. Le Moi inc. permets d'identifier les valeurs qui font notre authenticité et notre marque de commerce. On devient identifiable car on est soi-même et non pas la copie d'un autre. À la fin du processus, on sent que tout s'est éclairci. On est plus à l'aise parce qu’on sait que c'est celui qui nous convient. On est efficient, performant et notre mieux-être favorise la motivation. C’est comme un grand bol de confiance en soi. Samia : Donc, le Moi inc., c'est avoir une idée claire de qui on est, où on veut aller et comment on veut y aller. Voilà une autre vérité qui vient de sortir du sac !!!
Témoignages J’ai rencontré Jean Luc lors d’un tournoi de golf. Il a pris le temps de m’inviter à une soirée de réseautage du CEPS auquel j’ai assisté. Ensuite je n’en ai pas manqué une et je me suis impliqué dans le comité. Jean Luc m’a fait comprendre le bienfait de la solidarité. Jean Luc est une personne qui peut vous aider, comme il m’a grandement aidé, à atteindre vos objectifs. Encore faut-il les connaître et connaître son Moi inc. C’est justement dans ce processus indispensable que Jean Luc saura vous guider en main de maître et saura vous éviter nombres d’erreurs. L’important est de connaître les moyens pour atteindre vos objectifs. Là encore Jean Luc vous donnera les us et coutumes du Québec. Même si la langue et les origines sont semblables, vous ne pourrez vous passer de connaître la structure du marché de l’emploi et les techniques de réseautage au Québec. Son expérience et sa faculté à écouter font de lui le meilleur guide que vous pourriez avoir pour vous intégrer au Québec. Plus vite vous rencontrer Jean Luc plus vite vous êtes sur les rails. Son aide est précieuse et vous ne le regretterez pas. Guillaume Labarthe
La recherche du Moi inc., forge des gens de valeurs qui feront les bons choix aujourd’hui, dans l’avenir et en groupe. Moi inc. est un grand défi avant tout personnel. Une démarche où l’on trouve les réponses à l’intérieur de soi alors que la majorité cherche des réponses à l’extérieur. C’est un courant d’air frais et une piste pour ceux qui cherchent un sens à leur vie. Une formation sur le Moi inc. permet de passer à la 2e question: comment démarrer la démarche pour sortir de son cocon. René DesChênes Prenez une pause pour une profonde réflexion sur votre Moi inc., car l’art d’être soi, est tout un art. Être l’artisan de sa vie, c’est se comprendre, s’accepter pour mieux se positionner, s’ajuster, se différencier et prendre sa place dans une société en pleine mutation. Être soi, c’est également communiquer en conscience, car conversation et éloquence, ne sont pas synonymes: parler et bien parler sont deux choses distinctes. Samia Abdelaziz Les changements sont à l’intérieur du Moi inc. C’est un travail quotidien et la victoire de toute une vie. Il ne faut pas oublier que tout part de soi. Marie Josée Plouffe
Jean Luc est mon mentor, un grand guide de chasse à l’emploi caché et un fin pisteur d’indices dans l’âme et le cœur des chercheurs d’emploi, des entrepreneurs et des employeurs. Par la simplicité, l’écoute et la mise aux défis, il sait faire sortir le meilleur de vous-même. Aucun déguisement ne résiste longtemps à son miroir de la réalité du marché au travail. Il vous fait résonner le cordon du cœur, réveiller vos valeurs sensibles et briller parmi les opportunités les plus imprévues. Son parcours professionnel compte moult récits d’aide aux ingénieurs, aux technologues et aux chimistes. Il me répète souvent que le meilleur moyen de connaître son Moi inc. est d’observer, d'écouter et d'apprendre sur soi-même. Trop simple vous direz; mais combien d’entres nous auraient avantage à connaître mon mentor. Il m'en fait voir de toutes les couleurs. Sa façon de voir les choses est d'une simplicité déconcertante. Sa façon d’expliquer le fonctionnement du marché caché de l’emploi passe par la chasse à l’orignal, la vie dans une fourmilière et le jeu Serpents et échelles. Il sait que les candidats sont ébranlés et confus sur les possibilités du marché mais surtout de leurs propres priorités. Quand j'ai commencé à le comprendre, j'ai passé à l'action. C’est un homme à connaître car il vous fait découvrir que vous êtes unique et que vous avez une grande valeur. Jean Luc m’a fasciné par sa grande connaissance du marché de l’emploi et son approche axée sur la solidarité. Denis Poirier
J’aimerais vous raconter mon expérience avec mon Moi inc. Je suis en harmonie avec mon interlocuteur lorsque je suis en entrevue d’embauche et que mon cerveau est nourri par des ondes Alpha. L’hypothèse que le cerveau passe inconsciemment dans les ondes Alpha est pour moi un fait réel. Les étapes d’une entrevue d’embauche se mesure avant, pendant et après. Je m’explique et je tiens à dire que cela est sûrement différent pour chaque personne. Avant : Je suis à la fois excitée de passer une entrevue et en même temps j’ai peur de me planter. Pourtant, je connais la valeur de Mon inc., mais j’ai cette petite voix qui ne cesse de me dire « si tu te plantes ». Cet état d’âme se manifeste généralement quelques jours avant l’entrevue. C’est alors que je commence à mettre en place un processus intérieur qui me permet de me calmer des nerfs. Je planifie les vêtements que je porterai. Je passe à travers mes fêlures. Je sais que j’ai les compétences sur papier. C’est à moi de prouver ce que j’avance et j’en suis capable. Je suis liée avec mon Moi inc., je projette des images intérieures du genre d’entrevue que je veux avoir (mon comportement, mes cinq sens, mon corps, ma voix et mes yeux). Je revoie le contenu de mon CV, de ma lettre de motivation afin d’avoir une préparation mentale et d’être prête à saisir les opportunités de mettre en valeur mon Moi inc. J’arrive 30 minutes avant l’entrevue, je reste à l’écart pour prendre le temps de relaxer, ma concentration est au maximum et personne ne peux me déranger. Je sais où je vais et ce que je veux. Pendant : Je me présente et je regarde dans les yeux mon interlocuteur, j’attends qu’il m’invite à m’asseoir. Je suis au moment présent à tout instant et mes cinq sens sont allumés au maximum. Je n’ai pas de difficulté à gérer cet état d’être. Je suis naturelle et spontanée en regardant les gens dans les yeux. Je réponds aux questions avec des faits ce qui me permet de mettre en évidence mon Moi inc. Je ressens de la part de mon interlocuteur une satisfaction qui m’envahie. Après : Je suis épuisée et à la fois sur un nuage. Je note mes points forts et ceux à améliorer. Je demeure sur un nuage sachant que le tout c’est bien déroulé et que j’ai fais de mon mieux. Suzanne Boulianne
Tout le monde a une attitude différente concernant son Moi inc. et il est possible que vous vous reconnaissiez dans ces présentations. Si vous êtes du genre orphelin larmoyant Vous voulez être pris en charge. Vous cherchez la pitié, vous voulez émouvoir. Vous vous dévalorisez. Ce n'est jamais de votre faute. Vous présentez très peu vos compétences, mais plutôt vos « non compétences ». Si vous êtes du genre bon élève Vous voulez être approuvé. Vous allez toujours dans le sens de votre interlocuteur. Vous vous adaptez à tous les discours. Il n'y a aucune prise de contact possible avec vous. On n'a pas d'accès à votre personnalité. Si vous êtes du genre super héros Vous vous donnez une mission. Vous êtes peu à l'écoute. Vous valorisez le changement. Vous êtes arrogant, imposant, et vous vous intéressez très peu à la dynamique de votre environnement. Vous êtes peu à l'écoute. Si vous êtes du genre combattant enragé Vous ne voulez pas perdre la face. Vous êtes ironique, vous avez toujours hâte que la conversation finisse. Vous êtes agressif, fermé, cynique, et vous manifestez une tendance au harcèlement. Si vous êtes du genre impuissant bienheureux Vous vous prouvez à vous-même l'absurdité du monde du travail. Vous aimez bien vous déresponsabiliser. Peu importe ce qui vous arrive, votre théorie fataliste est toujours prête. Vous démissionnez prématurément, vous êtes porté à l'autosuffisance. Vous dégagez un sentiment de vide et d'angoisse.
Témoignage Je suis un nouvel immigrant qui pensait connaître le marché de l’emploi au Québec. Lorsque j’ai postulé sur une offre d’emploi affiché sur LOOK4CV, j’ai reçu un message personnalisé de Jean Luc qui me conseillait de l’appeler. Lors de la conversation, Jean Luc a déduit que j’avais beaucoup de choses à apprendre pour mieux affronter le marché de l’emploi. Après notre entretien, j’ai suivi l’atelier individuel de chasse aux emplois cachés et l’atelier de groupe sur le réseautage responsable. Les ateliers m’ont permis de connaître ma vraie valeur et de sortir de mon cocon. N’ayez pas peur de dire les vraies choses à l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Mohamadou Doundèye
Le travail permet d’expérimenter le contraire de ce que l’on croit Un nouveau travail provoque toujours une perte de repères et de confiance en soi. Il est normal de perdre ses repères et sa confiance en soi lorsque qu’on commence un nouvel emploi. On doit trouver ses nouveaux repères dans un environnement flou, gérer le stress inhérent au nouvel d’emploi, apprendre à s'ouvrir et à avancer à découvert, "sans filet", se trouver rapidement des alliés, comprendre leur façon de travailler, se fusionner dans l’entreprise par son relationnel, prendre progressivement sa place et laisser sa Marque. Ce n’est pas par hasard que les cerveaux qui embauchent veulent attirer des talents équilibrés, bien dans leur peau, avec une poignée de compétences clairement identifiées, un bouquet d’expériences à mettre en valeur, une pincée de formation sur mesure et un zeste de centres d’intérêt. ‘’Arrosez le tout de relationnel’’. Les employés qui cultivent leur relationnel, sont des ambassadeurs pour leurs employeurs. Ils ont des vraies conversations, ils participent à des activités de réseautage de la bonne pointure, ils ont une carte d’affaires qui dégage les bonnes phéromones et ils donnent au suivant sans rien demander en retour. ‘’Arrosez le tout de poignées de main et de sourires’’.
L’histoire de la grenouille en haut de la tour Il était une fois une course de grenouilles. L’objectif était d’arriver en haut d’une tour. Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les soutenir. La course commença. Les gens pensaient que les grenouilles n’atteindraient jamais le sommet de la tour et tout le monde disait : "Elles n’y arriveront jamais!" Les grenouilles commencèrent à se résigner, sauf une, qui continua de grimper et les gens continuaient : " Elles n’y arriveront jamais!" Et les grenouilles s’avouèrent vaincues, sauf une, qui continuait à grimper. A la fin, toutes les grenouilles se désistèrent, sauf une, qui avec un énorme effort, réussi à atteindre le haut de la tour. Les autres grenouilles voulurent savoir comment elle avait fait. L’une d’elles s’approcha pour lui demander comment elle avait fait pour terminer l’épreuve. Elle découvrit que la grenouille était sourde !!!
L’histoire de l’immigrante à la recherche de la clé d’or Jean Luc : ‘’Est-ce que tu es à la recherche d’un emploi Sia’’? Sia : Non, je suis à la recherche de la clé d’or. Samia : C’est quoi la clé d’or? C’est la simplicité même. Elle ne fait pas obstacle au déroulement du processus. Samia : Ah bon !!! C’est bien de me dire. Jean Luc :Parle-moi de toi Sia. Sia : J’ai parlée pendant deux minutes en oubliant presque de respirer. Jean Luc :Parle-moi de tes expériences professionnelles. Sia : J’ai parlée pendant deux autres minutes en oubliant presque de respirer. Jean Luc :‘’J’ai remarqué que Sia était à bout de souffle. Alors je lui ai parlé en anglais. ‘’ Sia : J’ai répondu à Jean Luc dans mon meilleur anglais. Jean Luc :‘’J’ai demandé à Sia si elle avait ciblée un employeur. ‘’ Sia : Oui, et je le rencontre dans deux heures, en rajoutant le nom de l’entreprise et de la personne que je voulais rencontrer.
Jean Luc :‘’J’ai regardé Sia dans les yeux et je lui ai dit : Je vais tester ta valeur et je te donnerai quelques conseils. ‘’ Sia : Je ne savais plus comment me tenir sur ma chaise. Jean Luc :‘’J’ai regardé Sia en silence.’’ Sia : Je fondais sur ma chaise. Pendant que Jean Luc me posait des questions pour me tester, un éclair de génie m’a traversé l’esprit. J’ai réalisé l’importance de son test et je n’ai pas fait ma langue de bois. Après le partage des précieux conseils… Jean Luc :‘’J’ai demandé à Sia si elle avait des questions. ‘’ Sia : J’ai posé des questions qui avaient du bon sens. Jean Luc :‘’Je lui ai souhaité bonne chance.’’ Sia: J’ai répondu «merci, vous êtes très gentil». La leçon à retenir : Sia n’a pas fait sa langue de bois. Une langue de bois assomme avec des paroles inutiles.
Voici le résumé du coaching que Jean Luc a fourni à Sia. Le coaching a permis à Sia d’ouvrir son coeur, d’entrer dans cerveau des deux recruteurs et de contrôler le contenu de l’entrevue d’embauche. Jean Luc : Sia, lors de l’entrevue, mets-toi à la place de Monsieur Parent et de Madame Blouin. Que cherchent-t-ils à savoir? Montre-leur que tu as fait tes devoirs. Ne répond pas simplement à leurs questions. S’ils te proposent quelque chose qui t’étonne ou qui te déplaît, dit-le. Certaines de leurs questions seront difficiles à répondre. Pour les déchiffrer, tu dois comprendre ce qui se passe dans leur tête. L’entrevue te servira à déterminer si tu es capable de relever les défis liés au poste à combler. Pour le savoir, Monsieur Parent te posera des questions sur tes expériences de travail. Il te proposera aussi une mise en situation. Son raisonnement sera le suivant : si tu lui prouve que tu es capable de résoudre son problème de façon théorique, tu pourras sans doute le faire dans ton travail. Une fois que tu auras franchie cette étape, Monsieur Parent voudra mieux te connaître.