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Comité sectoriel de main-d’œuvre de l’industrie maritime Claude Mailloux, Directeur général Présentation à l’Association canadienne des opérateurs de traversiers Conférence annuelle Québec, September 2008. Qui sommes-nous?.
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Comité sectoriel de main-d’œuvre de l’industrie maritimeClaude Mailloux, Directeur généralPrésentation à l’Association canadienne des opérateurs de traversiersConférence annuelleQuébec, September 2008
Qui sommes-nous? Un outil à la disposition de l’industrie maritime du Québec avec la mission D’être une référence et un instrument d’action pour tout ce qui concerne la connaissance et le développement de la main-d’œuvre, la formation, la promotion des carrières et la gestion des ressources humaines. 2
Nos buts • Travailler de concert avec les compagnies et les travailleurs pour mettre en œuvre un véritable partenariat dans le dossier de la main-d’œuvre maritime. • Améliorer la connaissance et la compréhension des enjeux maritimes et des besoins des employeurs et des travailleurs du secteur • Développer de nouveaux programmes de formation • Améliorer l’accès à la formation • Promouvoir les carrières et les métiers maritimes • 3
Comité sectoriel: structure et composition • Conseil d’administration composé de représentants de l’industrie • Armateurs (transport de marchandises et de passagers) • Ports et services maritimes • Représentants des travailleurs • Associations maritimes • Observateurs du gouvernement • Membership: 90 compagnies et organisations • 3 employés • Ressources • Budget d’opérations fourni par Emploi-Québec • Fondement de l’entente avec E-Q: autonomie et imputabilité 4
Enjeux de la main-d’œuvre maritime • Vieilissement de la main-d’oeuvre • Pénurie de travailleurs • Recrutement et rétention • Image des carrières maritimes • Accès à la formation • Financier • Geographique • Saisonnier 5
Activités courantes • Recensement annuel des besoins de formation • Analyse des demandes d’aide financière pour la formation et recommandations d’utilisation au gouvernement - Formation réglementée (Ex: F.U.M.) • Perfectionnement (Transports Québec) 6
Activités courantes • Organisation et développement de nouvelles formations • Techniques d’entretien pour candidats au brevet de mécanicien de 4e classe (150 heures) • Gestion environnementale des navires • Gestion environnementale portuaire • Matelot de remorqueur et barge • Timonier • Stages maritimes pour étudiants en électricité • Matelotage général 7
Activités courantes • Carrefour d’information pour l’industrie maritime • Site internet • Bulletin mensuel • Service d’affichage d’emplois maritimes distribué par courriel et sur le site internet • Centre de documentation sur la gestion des ressources humaines 8
Activités courantes • Promotion des carrières • Participation à des salon d’emplois et d’éducation • Développement d’outils • Site internet • DVD • Brochures, etc. • Rencontres avec des étudiants, des conseillers en orientation scolaire et professionnelle 9
Étude sectorielle: buts • Tracer un portrait complet et à jour de la main-d’œuvre maritime (2007-2008): • Caractéristiques socio-démographiques • métiers • certificats • age • genre, etc. • Quels seront les besoins en main-d’œuvre pour les 3, 5 et 10 prochaines années? 10
Étude sectorielleIndustrie maritime • 284 compagnies • 19 armateurs (marchandises) • 14 opérateurs de traverses • 84 compagnies de croisières et excursions • 15 ports commerciaux • Québec 27 MT • Montréal 26 MT • Sept-Îles 21 MT • Port-Cartier 20 MT • 118 millions de tonnes de marchandises en 2007 11
Étude sectorielle Main-d’œuvre maritime: emplois Opérateurs de navires: 6053 Armateurs 3622 Croisières 1724 Traverses 707 Administration portuaire 678 Opérations portuaires 2535 Débardeurs (syndicats) 1619 Services maritimes (agences)) 1265 Pilotage 213 Total 12 362 emplois directs 18 400 emplois directs et indirects 12
Sectorial analysis: highlights Quebec marine population: tendances SyndicalisationFéminisation Officier de navigation 55% 2.6 - 8.3% Matelot de pont 78% 8.1% Chefsa mécanicien (1st) 34% 0% Mécaniciens (2,3,4) 91% 0 - 5.8% Assistants-mécaniciens 95% 0% 15
Étude sectorielle Dépenses de formation dans les entreprises: Pourcentage de la masse salariale Armateurs et traverses 1.4% Croisières 1.9% Ports 1.8% Services portuaires 2% Services maritimes 3.8% 16
Étude sur les immigrants maritimesButs • Décrire la caractéristiques et les problématiques de la population d’immigrants québécois ayant des qualifications maritimes • Faire des recommandations pour favoriser leur intégration dans l’industrie maritime • Méthodologie: entrevues privées et en groupe • Compagnies • Ministères de l’immigration (fédéral et provincial) • Organismes communautaires • Immigrants 18
Étude sur les immigrants maritimes • De 2003 à 2005, 204 personnes ont frappé à la porte de Transports Canada (Montréal, Québec et Rimouski) pour demander l’ouverture d’un dossier d’équivalence • La grande majorité des immigrants (92%) maritimes déclarés détiennent un brevet d’officier. • Région d’origine (officiers 2001-2006) • Afrique du Nord 66% • Europe de l’Est 22% • Asie 12% 19
Étude sur les immigrants maritimes • Il ya quatre fois plus de demandes d’équivalaneces à Transports Canada que de personnes qui déclarent des qualifications maritimes lors de leur demande d’immigrer au Canada • L’industrie maritime n’est pas sur la liste des secteurs économiques prioritaires du ministère de l’immigration. • Les agents d’imigration du Canada à l’étranger ne disposent d’aucune information sur l’industrie maritime • Beaucoup d’immigrants pensent que l’équivalence de leurs brevets maritimes sera reconnue dès leur arrivée 20
Étude sur les immigrants maritimes • Les immigrants ignorent les exigences de Transports Canada pour le traitement de leur dossier • Documents doivent être traduits • Temps de mer doit être authentifié • Pour les immigrants et les compagnies, Transports Canada est beaucoup trop sévère dans ses exigences de formation et d’examens envers les immigrants • Le temps d’obtention d’une équivalence de leur certificat (après cours et examens requis) varie entre un et cinq ans 21
Étude sur les immigrants maritimes • L’accès à la formation est difficile pour des raisons financières et géographiques • Plusieurs compagnies hésitent à offrir un premier emploi aux immigrants. On leur propose souvent des postes inférieurs à leurs qualifications reconnues • Peu de compagnies ont des stratégies visant à favoriser l’intégration des immigrants CONCLUSION Beaucoup d’immigrants ayant des qualifications maritimes se tournent vers d’autres secteurs 22
Et au niveau fédéral? • L’approche sectorielle existe au niveau fédéral: il y 29 conseils sectoriels reconnus par RHDSC au Canada • Un projet est actuellement en cours pour évaluer la pertinence et la faisabilité de créer un conseil sectoriel maritime et technologies des océans au Canada • RHDSC a créé un groupe de travail conjoint avec des représentants de l’industrie pour participer à ces travaux • Les conclusions et recommandations d’une étude sur la situation du secteur sont présentement en consultation dans le milieu maritime canadien. 23
Merci! CSMO industrie maritime 271, rue de l’Estuaire Québec, QC G1K 8S8 418 694-9059 www.csmoim.qc.ca Courriel: cmailloux@csmoim.qc.ca