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Le marché du travail. Offre Demande L. L’arbitrage consommation/loisir : le cadre d’analyse. C l (loisir) L(travail) T temps de loisir. L’arbitrage consommation/loisir : la contrainte budgétaire. C
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Le marché du travail Offre Demande L
L’arbitrage consommation/loisir : le cadre d’analyse C l (loisir) L(travail) T temps de loisir
L’arbitrage consommation/loisir : la contrainte budgétaire C l (loisir) L(travail) T temps de loisir
L’arbitrage consommation/loisir : l’équilibre C C* Umax l* T temps de loisir Les courbes d’indifférence représentent ici les préférences du consommateur entre loisir et consommation, qui sont considérés comme imparfaitement substituables.
L’effet d’une hausse de salaire sur l’offre de travail est ambigu La hausse du salaire accroît le coût d’opportunité du loisir, incite le consommateur à substituer du travail au loisir. Le loisir diminue, l’offre de travail augmente : c’est l’effet substitution (passage du point I au point S) Cependant, la hausse du salaire desserre également la contrainte budgétaire, et permet au consommateur d’accroître à la fois la consommation et le loisir. Le loisir augmente, l’offre de travail diminue : c’est l’effet revenu (passage du point S au point F) C x F x S x I Temps de loisir
L’offre de travail renversée (taux de salaire réel) L (offre de travail) L’effet de revenu domine l’effet de substitution : l’offre de travail est décroissante taux de salaire réel. La courbe de d’offre de travail est renversée. L’effet de substitution domine l’effet de revenu : l’offre de travail est croissante du taux de salaire réel
La trappe à inactivité C x I x F Temps de loisir La mise en place d’un revenu de remplacement étend les possibilités du consommateur. Ici, le consommateur choisit de ne plus travailler (passage de I à F)
Du R.M.I. (1988) au R.S.A. (2009) C Temps de loisir Le R.M.I. implique une trappe à inactivité. Le R.S.A. atténue le « coude » de la contrainte budgétaire et résorbe la trappe à inactivité.