190 likes | 312 Views
MES TOUTES PETITES - 7 -. Les agneaux turbulents. Blanchet et Blanchon sont deux agneaux adorables, tout blancs, tout doux, tout frisés… et pleins d’insouciance ! Leur maman a fort à faire pour les surveiller, et Grégoire le berger les surveille sans cesse.
E N D
MES TOUTES PETITES - 7 -
Les agneaux turbulents Blanchet et Blanchon sont deux agneaux adorables, tout blancs, tout doux, tout frisés… et pleins d’insouciance ! Leur maman a fort à faire pour les surveiller, et Grégoire le berger les surveille sans cesse. Sans cesse ? Sans cesse ? Mais où sont-ils donc passés ? Leur mère bêle tristement pour les appeler, Grégoire prend sa voix la plus persuasive pour crier leur nom aux échos de la montagne, Blanchet et Blanchon sont introuvables. Et l ’orage qui éclate !!!
C ’est Biquette, l’indépendante, la solitaire, qui les retrouve. Pour une fois, son amour du vagabondage a rendu service ! Elle s’était éloignée, sautant et cabriolant, et a soudain entendu leurs appels plaintifs. Elle les a découverts au creux d’un taillis, frissonnants et inquiets. Elle les pousse et les ramène à la bergerie. Grégoire l’a chaudement félicitée, et lui a donné une pleine poignée de sel !!! Quant à Blanchet et Blanchon, ils ne sont pas prêts de recommencer leur escapade ! FIN
JOUR DE NEIGE Un épais tapis blanc recouvre la campagne. Silence. Pas un bruit. Le temps semble arrêté. La neige est plutôt rare en ce coin de Bretagne. Mais soudain.. chants et cris ! Pas de doute. Écoutez ! Une bande d’enfants s’en vient en ribambelle. Ce grand pré tout ouaté, quel beau terrain de jeux !
Ils s’activent joyeux. Ah ! que la neige est belle ! Le Bonhomme bientôt s’ébauche sous leurs yeux. Deux cailloux pour les yeux, la pipe du grand-père. Pas de balai, hélas ! ils n’y ont pas pensé. « Cette branche cassée fera très bien l’affaire! » Et les voilà partis à chanter et danser : « Blanche neige, douce neige, Pour les enfants reste longtemps ! »
Le Coquelicot Cécile est malade. Elle ne peut encore sortir qu ’au jardin, et encore, lorsqu ’il y a du soleil. Elle aime bien être là, sur sa chaise-longue installée à l ’endroit le plus abrité des courants d ’air, suivre le vol des papillons, les périlleuses ascensions d ’une chenille, le travail inlassable des abeilles. Pourtant, aujourd’hui, elle est un peu triste.
C ’est la fête de maman… Son grand frère et sa grande sœur sont allés cueillir un gros bouquet d’aubépine et de lilas sauvage. Et elle n’aura pas de fleurs à offrir… Offrir une fleur du jardin, que maman a elle-même cultivé, ce n ’est pas de jeu !… Oh ! Le joli coquelicot qui a fleuri juste contre la chaise de la petite malade ! Maman aura une jolie fleur, et Cécile est heureuse ! FIN
L'HISTOIRE DE MANOUK « Mais que fais-tu ? » demande Papa en voyant Manouk courir après un lièvre des neiges.Manouk s’arrête, essoufflé. « Je voulais l’attraper. Ainsi, nous aurions pu jouer ensemble… Les jours passeraient plus vite. » Papa regarde Manouk d’un air pensif. « Tu t’ennuies ? » « Pas vraiment – assure vaillamment Manouk – Mais quand tu es parti pour de longs jours avec les chiens, maman est occupée avec les petits frères… enfin… je suis un peu seul, voilà… »
Papa réfléchit. Il a déjà une jolie meute, et les chiens de Naïka sont maintenant sevrés… Il s’en va sans un mot. Manouk est inquiet : aurait-il fâché son papa ? Mais celui-ci revient, avec un chiot dans les bras. « Tiens ! lui dit-il. Je te le donne ! » Manouk lui saute au cou. Il embrasse son père, il embrasse le chien, il est fou de joie ! Le chiot flaire son nouveau maître et, comme s’il avait compris, lui donne un coup de langue.
Manouk regarde papa. « Quand l’amèneras-tu avec toi pour tirer le traîneau avec les autres chiens de la meute ? « Jamais ! dit Papa. Il est à toi, il restera toujours avec toi ! » Manouk reste sans voix; ses yeux brillent comme des étoiles. Il embrasse fougueusement Papa, et déjà les voilà dans la neige tous les deux, l’enfant et le chien… Papa est heureux. Allons ! Son petit garçon a trouvé un compagnon de jeux…
Rousseline et Rousselin Jusqu’à présent, Rousselin et Rousseline avaient vécu comme deux lapins insouciants, jouant tout le jour avec leurs amis, dormant ici ou là, au hasard de leurs longs vagabondages… Mais, un matin, lorsque Rousseline sentit que ses petits allaient naître, elle fronça le nez, agita ses oreilles : - Il faut que nos petits soient à l’abri dans un vrai terrier ! À l’abri du froid et de la pluie ! À l’abri du chasseur et du renard !
Alors, Rousselin se mit au travail : et gratte, et fouine… Et fouille… Atchoum ! Et il recommence .En deux jours, il a construit un terrier profond et sûr. Rousseline se faufila dans le terrier, y fit un nid bien chaud, bien douillet, avec des poils de sa propre fourrure. Et ce matin-là, lorsque Rousselin revint de sa promenade matinale, il trouva six beaux petits qui venaient de naître, bien au chaud dans leur nouveau logis…. FIN
Sophie, la vieille dame et le printemps Ah ! Quelle belle saison que le printemps ! Tout revit ! Sophie adore courir dans les prés, admirer pendant de longues minutes le vol d ’un papillon, l ’ascension d ’une coccinelle, le balancement d ’une fleur dans le vent.Elle aime passionnément les fleurs et jamais, jamais, n’en cueillerait une ! Et pourtant… Hier, elle a été avec sa maman voir une vieille dame infirme.
On a parlé du printemps, et la vieille dame a soupiré ; - ce qui me navre, c ’est de savoir qu’il est là et ne ne plus pouvoir en profiter. Pourtant, Dieu sait comme j’aime la nature qui s éveille, les fleurs surtout ! Alors Sophie a couru a son jardin et, avec la permission de maman, elle s ’est mise à cueillir des fleurs. « Vous comprenez, leur disait-elle, la vieille dame ne peut pas venir vous voir, alors, il faut bien que je vous amène jusqu’à elle ! »
Bien sûr, le jardin a été un peu triste… Mais la vieille dame a été si contente ! Sophie n’oubliera jamais le sourire émerveillé qui l’a accueillie, lorsqu’elle est rentrée chez elle, les bras chargés de fleurs !!! FIN
L'ANNIVERSAIRE DE BRIGITTE Brigitte est Inquiète, TRES inquiète ! Maman lui a dit : « tu fais sept ans, tu es une grande fille ! Aussi, pour ton anniversaire, tu auras un cadeau utile ! » Un « cadeau utile » ? Quelle horreur ! ce n’est plus un anniversaire ! Et ce n’est plus un cadeau puisque, si c’est utile, on le lui aurait acheté tout de même ! Là, le cadeau, il est pour sa maman qui n’aura pas à dépenser !
Quand le Grand Jour arrive, je vous assure que Brigitte n’en mène pas large ! Et, quand sa mère et son père lui remettent un gros paquet, elle n’ose même pas l’ouvrir… « Alors ! dit maman ! tu te décides ? Il ne va pas te manger ! » Il ne va pas…. Il ne va pas…???? Mais qu’est-ce donc ? Et maintenant fébrile, Brigitte déchire le beau papier. Une patte toute douce… Un œil de porcelaine empli de douceur… Un nounours ! le nounours dont elle rêvait ! Brigitte est follement heureuse. Elle danse la sarabande autour de la pièce avec son ours, puis saute au cou de ses parents.Quel bel anniversaire !!! FIN
HYMNE AU PAPILLON Papillon, papillon ! Ta beauté nous enchante ! Dès les premiers beaux jours, comme une fleur dansante nous te voyons voler par les prés et les champs, et ton aile diaphane est un bijou vivant ! garde-toi du filet et de l’oiseau vorace… Toi, qui offres à nos cœurs la beauté et la grâce… Jacky
Musique : chanson traditionnelle enfantine « Savez-vous planter des choux ? » interprétée au synthétiseur, spécialement pour vous et pour ce diapo, par Florian Bernard. Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix Jacky.questel@gmail.com http://jackydubearn.over-blog.com/ Site : http://www.jackydubearn.fr/