200 likes | 329 Views
MES TOUTES PETITES. - 10 -. Diaporama de Jacky Questel. UNE SURPRISE. Valentin a été très sage durant sa longue maladie, il a supporté tous les examens et tous les traitements sans broncher, comme un grand. Alors maman lui promet une surprise.
E N D
MES TOUTES PETITES - 10 - Diaporama de Jacky Questel
UNE SURPRISE Valentin a été très sage durant sa longue maladie, il a supporté tous les examens et tous les traitements sans broncher, comme un grand. Alors maman lui promet une surprise. Dès son complet rétablissement, elle l’amène voir la forêt des singes. Quel émerveillement !!! Comme c’est amusant de les voir sauter de branche en branche, et se poursuivre en criant ! Ils ont été avertis de bien fermer leurs sacs, de ne pas avoir de chapeau ou de foulard, de vider leurs poches, même ! Valentin a mis exprès des cacahuètes dans sa poche, mais aucun singe n’est venu…
Il ne faut pas non plus essayer de les toucher. Pourtant, l’un d’eux est venu un moment sur l’épaule du petit garçon qui n’ose plus bouger, tant il est fier. Par contre, devant lui une fillette a tiré la queue du singe qui s’est retourné et l’a giflée ! - Bien fait ! dit Valentin. Mais le clou de la journée est une séance de cirque donnée par les singes eux-mêmes. Que de fous-rires ! Que de bonheur ! Valentin a mal aux mains à force de les applaudir. En rentrant à la maison, la gorge enrouée d’avoir crié des bravos enthousiastes, Valentin demande à sa maman : - Quand est-ce que je vais être à nouveau malade ??? FIN
ANNIVERSAIRE • Durant le goûter, Chloé a murmuré à l’oreille de Bénédicte : • Dimanche, c’est l’anniversaire de Jean, et nos parents ne sont pas là. Il faut qu’on lui fasse une belle journée ! Tu as une idée ? • On trouvera quelque chose !!! • Après de nombreux conciliabules, et beaucoup d’échanges de coups de fil, finalement le dimanche arriva. Jean pensait bien que ses sœurs l’avaient oublié et il fut tout surpris lorsqu’elles vinrent le réveiller, triomphantes, avec leur cadeau : une belle canne à pêche. • Quel bonheur ! Lui qui péchait jusqu’à présent avec une ficelle au bout d’un bâton !
- On vient pécher avec toi ! Lui dirent les fillettes, et nous serons très sages ! Elles tinrent parole, et ce fut même un moment très agréable d’écouter chanter les vagues, et de les regarder danser. Et vous savez quoi ??? Jean a pris un gros poisson ! Quel plaisir de montrer cela à maman lorsqu’elle rentrera !!! Chloé a pris une photo pour immortaliser ce moment, juste à l’instant ou le pauvre Martin se faisait pincer par un crabe ! Que de souvenirs !!! FIN
PAS DE HALLOWEEN POUR AMELIE ??? Ah non, c’est décidé, Amélie n’ira pas à la fête préparée par ses amies pour le soir de Halloween ! A quoi ça rime, d’abord, c’est ridicule ! Et voyez un peu ce chapeau que Brigitte-la-commandante voulait lui faire mettre ! Quelle tête elle aurait avec, je vous le demande ! Avec mauvaise humeur, elle pose le chapeau incriminé sur sa tête et se regarda avec une grimace. Mais, surprise !!! Elle fut bien étonnée de voir comme ce chapeau lui allait bien. Tiens ? Après tout, l’idée n’était pas si mauvaise ! Et cette plume verte était du meilleur effet ! Revirement complet ! Maintenant, Amélie a hâte de se mêler à la joyeuse troupe de ses amies… et de se montrer avec ce chapeau qui flatte sa beauté.
Voyons voyons ! Une bouche toute noire, du noir sur les joues… Amélie est maintenant toute excitée par ces préparatifs. Elle est sûre qu’elle va beaucoup s’amuser ! - Je m’en vais, maman ! crie-t-elle a sa mère toute étonnée de ce subit revirement quand ses amies viennent la chercher. Ses amies la complimente,ce qui la ravit. Et vraiment, c’est vrai, la soirée fut des plus réussies, et tout le monde s’amusa de bon cœur ! FIN
ADELINE ET LEOPOLD • Léopold ! à quoi rêves-tu ? Répète ce que je viens de dire ! • Et bien oui, Léopold rêve ! Ce matin, sa maman a rencontré la maman de sa meilleure amie, Adeline, qui a été opérée et que l’on ne pouvait pas aller voir. Et Léopold est invité à passer chez son amie après la classe, car elle est sortie de clinique. Sa maman lui a dit à midi, et, depuis, Léopold rêve au plaisir de retrouver enfin sa compagne de jeux. Sera-t-elle fatiguée ? L’aura-t-elle oublié, durant ce mois d’absence ? Il aurait voulu avoir le temps de lui faire un joli dessin, mais tout a été si vite… Heureusement, pendant le séjour d’Adeline à la clinique, il lui a envoyé de jolies lettres bien décorées. Comme les heures se traînent ! La classe ne finira donc jamais ? Enfin, c’est la cloche ! Là, Léopold ne rêve plus, et ses affaires sont vite ramassées ! Il est le premier à bondir dehors !
Il est tout intimidé en arrivant chez Adeline, mais celle-ci est plus émue que lui !!! Quel plaisir de se retrouver enfin, et que de choses à se raconter ! La maman d’Adeline leur prépare un chocolat chaud en les écoutant bavarder et s’amuser. Elle est toute attendrie par cette amitié. - Tu sais – dit Adeline – tes belles lettres si gentilles m’ont donné le courage de supporter mon traitement. Le chirurgien a dit que j’étais exceptionnellement sage, et c’est grâce à tes lettres ! Merci Léopold ! tu es un vrai ami ! Vous imaginez combien notre Léopold est fier et heureux d’entendre ces paroles ! Il se félicite d’avoir su prendre le temps nécessaire pour faire ces missives.
Comble de joie ! Après le goûter, la maman d’Adeline annonce que celle-ci est maintenant presque guérie, et qu’ils peuvent aller un moment jouer dans la cour ou le jardin ! Les enfants ne se font pas prier. • Attention , Léopold ! dit cependant Adeline. Vas doucement, je ne dois pas me fatiguer ! • Tout contrit, Léopold ralentit, et c’est à petits pas qu’ils font le tour de tous les lieux familiers, pour que la fillette puisse voir que rien n’a changé. • Quelle merveilleuse fin d’après-midi ! FIN
TITOUIT LA MESANGE Titouit est heureuse. Hier, en voletant dans le petit bois à la recherche d’un endroit pour faire son nid, elle a aperçu Jeannot l’écureuil prisonnier d’un filet, piège placé là par quelque méchant garnement. Elle a aussitôt alerté ses amies, et, à coups de becs, à coups d’ongles, elles ont réussi à déchirer les mailles de ce piège cruel. Quelle joie de voir que Jeannot a enfin retrouvé sa compagne, et qu’ils peuvent maintenant jouer dans le bois Et c’est sûr, ils feront bien attention aux pièges, désormais !!
- • Titouit s’est tellement démenée qu’elle se sent maintenant bien fatiguée. Mais elle doit pourtant trouver un endroit où bâtir son nid ! • Ne t’inquiète pas, lui dit Jeannette, avec mon Jeannot, nous connaissons un endroit formidable, où vous ne manquerez de rien, toi et tes enfants, dans un parc à l’abri des chats, et près d’une sorte de maison mise là exprès pour vous, les mésanges, et toujours garnie de graines ! • Titouit suivit ses amis, et en effet trouve un coin formidable. Elle peut s’occuper de son nid tranquillement, sans avoir à se soucier de sa nourriture ; une main attentionnée la renouvelle toujours, et ses amies venaient aussi puiser à cette table toujours servie !
Les enfants de Titouit naissent, ils grandissent, ils apprennent à voler, mais toujours ils reviennent près de leur mère et du nichoir providentiel. Et quand arrive l’hiver, tout ce petit monde trouve là les graines, la graisse et l’eau dont ils ont besoin pour passer la mauvaise saison sans encombre. Alors, par leurs chants, ils remercie les personnes qui, tout au long de l’année mais surtout durant l’hiver, savent leur venir en aide. Titouit n’oubliera jamais non plus de montrer sa reconnaissance à Jeannot l’écureuil, qui lui avait indiqué cet endroit. Car un bienfait n’est jamais perdu… FIN
MADAME LA LUNE • La voix de maman se fait grondeuse. • Arrête de jouer à la cuisinière, Amélie, et ramène-moi cette casserole. Rémi, pose cette lampe et ferme ce livre. Jean-Joseph, boutonne ton pyjama. Allons ! La prière et tout le monde au lit. La lune est déjà levée, et elle n’aime pas les petits enfants qui ne dorment pas ! • Tout ne va pas tout seul, mais finalement tout le monde se déshabille, la prière est dite, et chacun dans son lit s’endort. Endormi ? Non pas tous ! Amélie, qui s’est vraiment fait prier pour laisser ses jeux, est tout de même un peu inquiète. Elle regarde le ciel constellé d’étoiles, par la fenêtre, et voit que Madame la lune ramène sur elle un vilain nuage tout noir…
Amélie s’agenouille sur son lit, scrute le ciel. Les étoiles scintillent par milliers, et pourtant la lune s’emmitoufle dans son nuage gris… Amélie a le cœur gros. • Pardonnez-moi, Madame la Lune, je ne voulais pas vous fâcher ! Je vous le promets, demain je serai obéissante. Je vous en prie, revenez, Madame la Lune ! • La lune, alors, parait rejeter le vilain nuage gris et, petit à petit, se montre danstout son éclat. Amélie est rassurée. Elle se couche dna son petit lit, Mitsou auprès d’elle. C’est sûr, demain, elle obéira à maman ! FIN
BRAVE MIRKA ! Les parents sont partis visiter les Grottes de Glace, et Virginie, après avoir confié les petits au club, s’est élancée sur les pistes. Quel plaisir de glisser sur cette neige blanche, d’entendre le crissement des skis, de croiser, sur la piste, les camarades dont elle a fait connaissance ces jours-ci ! Le soleil est de la partie, et Virginie s’en donne à cœur joie ! A cinq heures, cependant, elle n’oublie pas d’aller au club récupérer Véronique et André. Mais au club, quel remue-ménage ! Les deux petits ont disparu, et les recherches entamées se montrent vaines. Des moniteurs, des gendarmes de montagne fouillent sans succès les environs. Virginie est affolée. Ses chers petits… Que vont dire les parents ? Elle a pourtant suivi leurs ordres…
Soudain, elle a une idée : Mirka ! La chienne est restée au chalet, mais Virginie a la clef. Vite, vite ! Elle fait sentir à la chienne les tricots des enfants. • Cherche, Mirka, cherche, je t’en prie ! Retrouve Véronique et André… • Mirka semble hésiter, flaire, et tout à coup file sur la neige. Parfois, elle s’arrête, semble hésiter, renifle une piste, et repart. Virginie l’encourage. Tout en skiant, elle crie les noms de son frère et de sa sœur. Quelques amis skieurs qui ont compris la situation sont avec elle. Mais Mirka revient sur ses pas, semble hésiter de nouveau. Le cœur de Virginie bat à se rompre. Tout à coup, Mika s’immobilise en jappant et appelant devant une bosse de neige, et gratte avec frénésie.
Virginie, aidée de ses amis, fouille le monticule. - Doucement, en cas qu’ils soient dessous ! Un pied… Un bonnet… Une jambe qui remue… André se redresse et s’ébroue. Mais Véronique ? La voilà enfin, glacée mais pas blessée. - On voulait se faire un igloo, dit André tout penaud, on y était presque arrivés et il vient de nous tomber dessus… Mirka saute en aboyant autour des enfants. Les sauveteurs arrivent, se chargent de rapatrier les imprudents jusqu’au chalet. Virginie n’a pas le cœur de gronder. Ses jambes en sont encore toutes flageolantes ! Elle embrasse fort Mirka pour la remercier. Tout de même, quelle peur ! Merci ma brave Mirka ! FIN
Dessins de sources diverses Texte : Jacky Musique : Quelques notes pour Anna (aucun autre renseignement) Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix Jacky.questel@gmail.com http://jackydubearn.over-blog.com/ Site : http://www.jackydubearn.fr/
Vu sur Diaporamapps.com Voir aussi Voyagepps.com