350 likes | 474 Views
Théodore Botrel Poète et chansonnier de sa Bretagne natale, Est né à Dinan le 14 Septembre 1868 et décédé à Pont-Aven le 27 Juillet 1925 Par ces quelques cartes postales signées de sa main, sa mémoire et son œuvre nous restent présentes. (Prenez le temps de lire, de regarder, d’écouter
E N D
Théodore Botrel Poète et chansonnier de sa Bretagne natale, Est né à Dinan le 14 Septembre 1868 et décédé à Pont-Aven le 27 Juillet 1925 Par ces quelques cartes postales signées de sa main, sa mémoire et son œuvre nous restent présentes (Prenez le temps de lire, de regarder, d’écouter L’avancement est manuel)
D’une famille de forgerons de Broons, il s’amusait tout enfant à transformer des chansons connues. Après cinq ans de service militaire, il prend un engagement au « Théatre libre » et compose quelques pièces et chansons …
…Un jour, il remplace au pied levé un chansonnier sur la scène du « Chat Noir », et il est embauché. Sa notoriété lui vient de « La Paimpolaise », inspirée de « pêcheurs d’Islande » de Pierre Loti.
Il publie: Chansons de Bretagne Chansons de la Fleur de Lys Chansons en sabots Chansons en dentelles Chansons de chez nous…
La générosité de Botrel lui faisait refuser tout cachet lorsqu’il se produisait en Bretagne. « De la Bretagne, Je ne veux rien. A la Bretagne, Je donne »
Une goélette passe l’hiver sur la grève… …Toute la nostalgie des grands espaces marins.
La famille… …Le bonheur Ainsi parle Botrel de Dinan la jolie, sa ville natale: Emergeant des douces brumes bleutées de la Rance, qui l’enveloppent et l’estompent, la ville médiévale apparaît, de là, comme agrandie, lointaine et presqu’irréelle. Oui, telle une cité de rêve qu’un enchanteur aurait fait surgir soudainement, sous nos yeux, du vieux fleuve qui lui baise amoureusement les pieds…
…Robuste châtelaine corsetée de granit, elle s’accoude, nonchalante, à ses remparts inviolés, hiératique et souveraine, richement drapée dans l’or rouge et le cuivre éclatant de ses frondaisons automnales, couronnée qu’elle est par sa « Tour de Saint Malo », son « Clocher de Saint Sauveur » et l’aiguille de sa vielle horloge, qui vont se perdre, ainsi que trois prières, dans le doux ciel d’Arvor aux jolis tons d’ardoise.
PAR LE PETIT DOIGT Chanson de Théodore Botrel qu’illustrent les huit cartes suivantes Théodore Botrel et Madeleine Renaud
Chanté par Mona Martenville
Au revoir à bientôt EYL