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Dermohypodermites aiguës. Classification anatomopathologique. Dermo-hypodermites microbiennes non nécrosantes. Erésipèle Cellulite superficielle Hospitalisation uniquement si: Tableau général septique Comorbidité - contexte social Pas de facteurs locaux pouvant faire suspecter une DHBN.
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Dermo-hypodermites microbiennes non nécrosantes Erésipèle Cellulite superficielle Hospitalisation uniquement si: Tableau général septique Comorbidité - contexte social Pas de facteurs locaux pouvant faire suspecter une DHBN
Traitement • Antibiothérapie per os : • Amoxicilline 3- 4,5 g /24h 15 jours • Pristinamycine si allergie 3g / 24h • Antibiothérapie IV : • Péni G 10-12 m • Amoxicilline 3-4,5 g / 24h • Pas d’anticoagulation • Isocoagulation non indispensable • Pas d’écho-doppler systématique
Douleur locale intense Œdème majeur Bulles hémorragiques Nécrose cutanée Zone de marbrures – livedo Hypoesthésie superficielle Induration - crépitation Signes locaux Dermohypodermites nécrosantes
Classification bactériologique Anat-path Cliniques Micro-organismes Cellulite clostridiale Clostridium Nécrosante sans atteinte musculaire Streptococcus anaérobies aérobies, Bactéroides Cellulite nécrosante synergystique Streptococcus anaérobies aérobies, Staphylococcus, Bactéroides Fasciite nécrosante Streptococcus anaérobies aérobies, Staphylococcus Myosite streptoccoccique à anaérobies Nécrosante avec atteintemusculaire Myonécrose clostridiale Clostridium
Traitement • Antibiothérapie Pénicilline G 20-30 millions d’unités / 24h + Clindamycine 1,8- 2,4g Si allergie Vancomycine-métronidazole Si atteinte abdomen ou périnée : Tazocilline 4gx3 ou Tienam 5oomgx4 + aminosides • Débridement chirurgical • L’oxygénothérapie hyperbare n’a pas sa place dans les premières heures