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Les pharmaciens et les affections mineures Réunion du Conseil des omnipraticiens de la SMNB Le 31 mai 2014. Contexte. Il y a une tendance nationale à élargir le champ de pratique des pharmaciens avant de leur permettre de diagnostiquer les affections mineures et de prescrire des médicaments.
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Les pharmaciens et les affections mineuresRéunion du Conseil des omnipraticiens de la SMNBLe 31 mai 2014
Contexte • Il y a une tendance nationale à élargir le champ de pratique des pharmaciens avant de leur permettre de diagnostiquer les affections mineures et de prescrire des médicaments. • La SMNB travaille à cette question avec les pharmaciens depuis décembre 2012. • Toutes les autres provinces, sauf l’Ontario et la C.-B., ont déjà cette pratique en place ou en voie de l’être. • En SK, les pharmaciens sont rémunérés pour ce travail. Ils facturent la province au moyen d’un système semblable à l’Assurance-maladie.
Cadre réglementaire • La pharmacie est une profession autoréglementée. • Pour changer leur champ de pratique, les pharmaciens ont dû amender leur Loi, faire adopter de nouveaux règlements et faire préparer un certain nombre de directives par leur Collège. • Ils ont terminé les deux premiers amendements législatifs et termineront leur travail à ce sujet sous peu. • Ils prévoient commencer le diagnostic et le traitement des affections mineurescet été.
Proposition de base • Les pharmaciens pourront diagnostiquer et traiter plus de 30 affections mineures. • Leurs exigences seront beaucoup plus sévères que celles qu’ils ont actuellement concernant la tenue des dossiers, la consignation des antécédents, etc. • Les pharmaciens communiqueront avec le médecin de famille lorsqu’ils exécuteront une intervention pertinente sur le plan clinique. • La proposition de diagnostiquer et traiter des affections mineures a évolué considérablement par rapport à celle qui nous avait été présentée il y a deux ans.
Activité de la SMNB • La SMNB a rencontré son Collège et son Association à maintes reprises. • Elle a rédigé, approuvé et posté un exposé de principe au gouvernement et aux représentants de la pharmacie. • Elle a rencontré le premier ministre et le ministre de la Santé. • Elle a demandé un sondage auprès du public sur la question. • Elle participe actuellement à un groupe de travail technique • Docteurs Clouston (Sussex), Humphrey (Saint John), Sinha (Woodstock) et Smyth (Moncton)
Mises à jour sur les propositions initiales • Les pharmaciens doivent dorénavant suivre un autre niveau de formation donné par leur Collège. • La révision des algorithmes cliniques se fait avec nous, et nous espérons que les pharmaciens les appliqueront. • Les classes appropriées de médicaments doivent être bien précisées, mais pas individuellement, et définies explicitement. • Réticence à prescrire des antibiotiques.
Articles restants pour le groupe de travail technique • Compléter les algorithmes cliniques. • Discuter en profondeur de toutes les affections bénignes proposées. • Se mettre d’accord sur des protocoles de communication – p. ex. ce que les médecins de famille doivent savoir. • Expliquer les processus de responsabilité aux membres respectifs. • Définir exactement ce que l’on fera au sujet des antibiotiques. • Confirmer que les pharmaciens traiteront les patients avec qui ils ont déjà établi un lien.
Articles restants pour la Société médicale, le gouvernement • Faire valoir l’importance d’un système d’information sur les médicaments. • Le gouvernement ne rémunérera pas les pharmaciens pour ce travail – ils devront imputer les frais aux patients directement; nous devrons surveiller la rémunération concernant tout nouveau service. • Passer en revue la mise en œuvre de l’initiative.