70 likes | 158 Views
Le rapatriement de la Constitution: Une majorité de Canadiens affirment ressentir de la fierté envers le rapatriement; cependant, 1982 semblent être un souvenir flou pour la plupart des individus, qu’ils résident au Québec ou ailleurs au Canada. Jack Jedwab Association d’études canadiennes
E N D
Le rapatriement de la Constitution: Une majorité de Canadiens affirment ressentir de la fierté envers le rapatriement; cependant, 1982 semblent être un souvenir flou pour la plupart des individus, qu’ils résident au Québec ou ailleurs au Canada Jack Jedwab Association d’étudescanadiennes 11 avril2013
Introduction • Le livre La Bataille de Londres, rédigé par Frédéric Bastien, professeur au Collège Dawson, révèle les dessous des négociations ayant impliqué des juges de la Cour suprême durant le rapatriement de la Constitution canadienne de 1982 et ravive les souvenirs liés aux trahisons commises à l’égard du Québec durant ce processus et lors de la ratification. Plus de trente ans plus tard, le rapatriement demeure un sujet qui alimente les discussions servant à illustrer le fossé entre le Québec et le reste du Canada. Cependant, un sondage récent démontre qu’une légère majorité d’individus considère le rapatriement avec fierté, ce qui se révèle être également le cas pour près de la moitié des Québécois; le fossé autour de la question du rapatriement n’est donc pas aussi prononcé que certains observateurs semblent l’assumer. De plus, le rapatriement ne semble pas être un sujet qui préoccupe beaucoup de jeunes Québécois.
Méthodologie • La cueillette des donné a été réalisée par un sondage auprès de 2 200 Canadiens mené par la firme Léger Marketing durant la semaine du 5 novembre 2012 sur la demande de l’Association d’études canadiennes. Ce sondage a été réalisé par panel Web, la marge d’erreur est de 2,9%, 19 fois sur 20.
Soixante pourcent de Canadiens considèrent le rapatriement de la constitution de 1982 comme une source de fierté personnelle et collective
Les Francophones résidant dans les provinces autres que le Québec ressentent le plus de fierté envers le rapatriement
Les Canadiens âgés entre 24 et 35 ans sont les moins nombreux à accorder de l’importance au rapatriement et sont les moins informés sur les évènements de 1982
Les Québécois les plus jeunes : presque autant de jeunes ignorent ce qu’est le rapatriement que ceux qui affirment ne ressentir aucune fierté envers celui-ci