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Plan . 1- Dfinition2- Interrogatoire3-Examen physique4-Techniques d'imagerie du Rachis lombaire5-Les lombalgies communes6- Les lombalgies symptomatiques7- Conclusion . Dfinition. La lombalgies n'est pas une maladie mais un symptme.On appelle lombalgies communes (LC)les douleurs lie l'
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1. les lombalgies en milieu professionnel Séminaire de formation continue Médecine du Travail
Dr Sidi El Wafi OULD BABA
2. Plan 1- Définition
2- Interrogatoire
3-Examen physique
4-Techniques d’imagerie du Rachis lombaire
5-Les lombalgies communes
6- Les lombalgies symptomatiques
7- Conclusion
3. Définition La lombalgies n’est pas une maladie mais un symptôme.
On appelle lombalgies communes (LC)les douleurs liée à l’arthrose vertébrale.
Elles s’opposent aux lombalgies symptomatiques(LS) révélatrice d’affections rare méritant d’être reconnues précocement.
4. Interrogatoire doit répondre à 6 questions
le siège de la douleur
le rythme de la douleur
l’influence des sollicitations mécaniques rachidiennes
le mode de début des douleurs
le mode d’évolution des douleurs
les antécédents lombalgiques
5. Examen physique Malade débout,examiné de profil et de dos:
recherche d’un trouble statique rachidienne dans le plan sagittal
étude des mobilités du rachis lombaire
recherche contractures musculaires,points douloureux à la palpation rachidienne
des signes de souffrances sacro-iliaques et coxo-fémorales
examen général
6. Techniques imageries du rachis lombaire radiographies simples cloché de face dorso-lombo-pelvi-fémoral (De sèze),de profil, charnière lombosacrée.
Apprécie la statique rachidienne,dégénérescence discale,anomalies morphologiques congénitales ou acquises .
• TDM analyse les parois,le contenu du canal,hernie discale et conflits,la saillie doit être distinguée de la hernie.
•IRM non irradiant,Dc hernie discale type, examen de choix du rachis opéré ,bon examen des L S.
•Saccoradiculograpgie échec de L’IRM et TDM, avec radiculalgie sans conflits,analyse le LCR, clichés dynamique,en cas de spondylolisthésis.
•Discographie
7. TDM Lombaire
8. TDM: Hernie Discale
10. AMIPAQUE: HD
11. TDM: Hernie Discale
12. DISCOGRAPHIE
13. AMIPAQUE: HD
14. Arthrose Postérieure + Kyste Art.
16. AMIPAQUE: HD
17. Sténose du canal latéral
18. les lombalgies communes Épidémiologie:
fréquence 60à90% adultes souffre ou en a souffert prévalence max 55 et 65ans.
Les efforts répètes les antécédents de traumatisme,bas niveau social et d’éducation,instabilité professionnelle et familiale.
L’insatisfaction au travail facteur essentiel risque de chronicité.
première rang des affections limitant l’activité avant 45ans.
50% épisodes durent moins d’une semaine
90% moins d’un mois
10% entraînent un arrêt de travail sup à 6mois
19. le lumbago plus fréquent,par douleur lombaire basse,brutale à effort,avec blocage,s’accompagne impotence fonctionnelle majeure,Dx intense soulagée que par le décubitus.
L’examen clinique trouve une limitation des mobilités sans signes d’irritations radiculaire et neurologiques.
20. Examens complémentaires Pas nécessaire devant un lumbago typique adulte jeune sans antécédents
Radiographie est justifié l’adolescent, sujets plus 55ans avec ATCDs d’infections de tumeur traumatisme ou de fièvre de signes neurologiques tableau atypique.
Si persiste après 2semaines,aggrave.
Biologie (VS,CRP) que tableau atypique
21. Evolution et Traitement Majorité des cas guérison qlqs jours,même s’il persiste des lombalgies épisodiques.
Traitement est tjrs médical.
Le repos n’est pas ttt du lumbago,favorise la reprise progressive et rapide du travail en rassurant le malade.
ttt médicamenteux symptomatique associant antalgique AINS,myorelaxant.
Les massages et rééducation pas place a la phase aigue.
22. Rare cas des infiltrations péridurale corticoïdes.
Orthèse lombaire type ceinture de soutien lombaire à l’occasion des efforts professionnels ou de loisirs,peut être utile dans les formes récidivantes.
23. Lombalgies communes chroniques Définit persistances de Dx lombaire invalidantes au delà de 3à6mois.
Rare (5%) forme grave LC du fait retentissement socioprofessionnel et économique.
Sujets aux ATCDs Lumbago,lombosciatiques à répétition,laissant persister une Dx lombaire permanente.
Inaugurale,survenant progressivement sans facteurs déclenchants.
24. L’interrogatoire évocateur par siège,rythme mécanique évolutif entrave peu les activités.
Examen pauvre Dx Lombaire irradiant ds fesses,partie poste cuisses,rarement jambes sans topographie précis,limitation modérée ou globale,points électifs douloureux palpation.
Lasègue réveille Dx, pas signes neuro,général
25. Examens complémentaires Radiographies simples du rachis justifiée
lésions arthrose lombaire
pas de parallélisme anatomo-radio-clinique
Examen biologiques simples
s’assurer l’absence d’inflammation
En absence de souffrance radiculaire(TDM,IRM) n’ont aucune indication.
26. Évolution Favorable ds la majorité des cas spontanément,important d’en avertit malades.
Exceptionnel invalidité
peut conduire handicap ds activités professionnelles qui sollicitent le rachis.
Chez travailleurs de force justifie un ttt précoce et efficace que possible.
27. Traitement Médicamenteux symptomatique.
Les infiltrations péridurale lors poussées.
Repos limité pas utilement poursuivi.
Tractions vertébrale poussée subaiguës.
Ceinture soutien lombaire contribue au soulagement Dx,reprise des activités.
Rééducation élément essentiel du ttt
active,gymnastique renforcement muscles tronc
adaptation posturale
verrouillage charnière lombosacrée
nécessite compréhension,répétition à domicile
15 séances en moyenne
28. Chirurgie tout à fait exceptionnel
arthrodèse intervertébrale avec ou sans matériel ostéosynthèse résultat moyen long terme inconstant.
29. Cas Syndrome trophostatique de la post-ménopause forme typique associant femmes,excès pondéral,hyper cyphose dorsale,hyper lordose lombaire qui entraînant contraintes rachis,génératrice d’arthrose inter apophysaire postérieure.
Dx lombaire basse irradiant aux cuisses svt aux fesses sans attendre les pieds,sensation brûlures mécaniques évoluant sur un mode chronique.
examen clinique pauvre
30. Lésions d’arthrose inter apophysaire rachis lombaire face et profil
pseudo-spondylolisthésis du à l’usure AIPP fréquent L4-L5 ou L3-L4.
ttt symptomatique première intention même que LC
infiltrations articulaire postérieure
lutter contre excès s pondéral ,rééducation
ceinture lombaire
ttt chirurgical très exceptionnel.
31. Radiographie du rachis lombaire et examens biologiques systématique.
D’autres examens complémentaires sont réalisés en fonction des orientations
32. LOMBALGIES SYMPTOMATIQUES ? Rare moins 1%,mais il faut y penser erreur Dc est lourde conséquences.
? Diagnostic
clinique suspecter éléments doivent alerter
début progressif,insidieux sans facteurs
atypies topographie lombaire haute,étendu
rythme atypique inflammatoire
intensité ténacité aggravation progressive
absence ATCDs lombaire surtout sujets âgé
raideur globale
signes généraux
33. lombalgies tumorales malignes (myélome cancer secondaires os) Radio tassement vertébral
Ostéolyse
Déminéralisation diffuses
IL faut la scintigraphie qui orient d’autres examens TDM,IRM,biopsie
37. les lombalgies tumorales bénignes plus fréquente l’ostéome ostéoide par Dx inflammatoire,
ostéocondensation intense localisée à partie d’un vertèbre
biopsie donne Dc définitif
Neurinome,Méningiome tumeurs bénignes intrarachidienne.
38. Lombalgies infectieuses ? Spondylodiscite à germe banals
30% infections ostéo-articulaire
Staphylocoque 50%
BGN 15%
Streptocoque 10%
Dc signes inflammatoires confortés par Imagerie (IRM).
Confirmé germes ponction disco vertébrale pr hémocultures.
ttt antibiothérapie adapté,immobilisation avec évolution favorable.
39. Spondylite ou Spondylodiscite (mal de pott) rarement au rachis lombaire
évoquer dans notre contexte
Arguments clinico-biologiques et radio
TDM avec abcès parties molles
IRM précoce
Dc formel bactériologique
arguments d’autres localisations
IDR phycténulaire
ttt 3(Rif Iso Eth) 4( pyra) pdt 2mois puis Rif Iso pdt 9à12mois.
40. Lombalgies des Spondylartroparties Manifestations axiales et périphériques
HLA B 27
Signes radio sacro-iliaques
Signes extra articulaires (uvéites cutanéo -muqueux,digestifs…..)
Bonne sensibilité aux AINS.
41. Autres lombalgies Ostéopathie déminéralisante ( tassements vertébraux,par fracture du sacrum).
Lombalgies extra rachidienne(absence d’anomalie à l’examen clinique) par anévrysme aorte abdominale(fissuration).
Lombalgies pathologie urinaire
42. Conclusion ? Eluminer lombalgies symptomatique affection sous jacente grave.
? Formes cliniques de LC
Lumbago
Lombalgies chroniques
Lombalgies articulaire postérieure
LC pas d’explorations
réalisées cas orientation clinique vers LS (infectieuse tumorale,inflammatoire).
43. Merci