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Projet EQUAL NOVEMBRE 2001 – MAI 2005. PASSEPORT COGNITIF POUR L’INSERTION PCI. ETAPES DU PARCOURS D’INSERTION. Socialisation, structuration, orientation Mise à niveau, pré-qualifcation, initiation Formation de base Formation qualifiante Transition vers l’emploi. POURQUOI EQUAL ?.
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Projet EQUALNOVEMBRE 2001 – MAI 2005 PASSEPORT COGNITIF POUR L’INSERTION PCI
ETAPES DU PARCOURS D’INSERTION • Socialisation, structuration, orientation • Mise à niveau, pré-qualifcation, initiation • Formation de base • Formation qualifiante • Transition vers l’emploi
POURQUOI EQUAL ? • Stratégie adoptée par l’Union européenne: • créer plus d’emplois ; • favoriser de meilleurs emplois ; • faire en sorte que personne ne soit privé de l’accès à l’emploi.
COROLLAIRE DE LA STRATEGIE EUROPEENNE • Expérimenter de nouveaux moyens • de lutter contre les discriminations et les inégalités ; • par rapport aux demandeurs d’emploi et aux travailleurs. • Fournir un cadre expérimental : • pour tester de nouvelles idées ; • Idées susceptibles de modifier les politiques et les pratiques futures ; • dans les domaines de l’emploi et de la formation.
PUBLIC CIBLE D’EQUAL • Jeunes de moins de 25 ans • Demandeurs d’emploi en échec scolaire • Chômeurs de longue durée • Bénéficiaires du revenu d’intégration • Personnes handicapées • Femmes rentrantes • Salariés faiblement qualifiés et fragilisés dans leur emploi
CONSTATS SUR LE TERRAIN • Dispositifs d’aide à l’insertion absents des premières étapes du parcours d’insertion. • Stratégie des CPAS : projet d’intégration des bénéficiaires du RI (accompagnement) mais difficultés pour les orienter. • Demande des personnes sans emploi : projet individualisé sans redondance des procédures de tests et d’orientation. • Incohérences au niveau des opérateurs d’insertion : • Manque de communication ; • Insuffisance de transversalité ; • Méthodologie et langages différents
FINALITE DECOULANT DU THEME CHOISI • Améliorer la qualité et l’efficacité • des processus d’insertion socioprofessionnelle ; • de maintien dans l’emploi ; • des publics les plus en difficultés sur le marché du travail.
FONCTIONNEMENT • Réunion d’acteurs-clés d’une région géographique ou d’un secteur. • Mise en commun des compétences et des expériences. • Au moins un partenariat avec un autre pays européen (PECI).
LES DEFIS • Le PDD doit : • mobiliser les acteurs clés afin de lutter contre les discriminations ; • intervenir dans une région particulière au niveau tant national que transnational ; • coopérer aux activités de création de réseaux et de diffusion.
LE PARTENARIAT GEOGRAPHIQUE • Deux bassins d’emploi qui rencontrent la même problématique : • La Louvière-Centre • Mons-Borinage
LES PARTENAIRES • Partenaires d’insertion : • CPAS de La Louvière et de Mons • Partenaires de structure et de sensibilisation : • ASBL Braine Emploi • IOS • ASBL CEDAR • Partenaires d’évaluation et de remédiation (EPS) : • Province de Hainaut (CPEPSB) • Ville de La Louvière (Form@t 21) • Ville de Mons (EISM) • Partenaires « spécifiques »: • AWIPH • CREAFORM • Partenaire responsable du protocole de communication : • ASBL INDIGO • Partenaire coordinateur : • ASBL CEDAR
PUBLIC CIBLE DU PROJET • Bénéficiaires du revenu d’intégration • Titulaires d’un dossier AWIPH • Ensuite élargissement à tout le public cible d’Equal.
LE PROJET • Identifier et valider les compétences cognitives de référence (BCC). • Mettre en place une offre de formation s’appuyant sur les résultats du BCC. • Structurer une triangulation entre : • la personne (bilan), • le marché de la formation (pré-requis), • le marché de l’emploi (seuil d’embauche). • Adapter l’environnement du BCC aux personnes sollicitant une approche personnalisée. • Structurer un travail en réseau.
POURQUOI LES COMPETENCES COGNITIVES ? • Contrairement aux compétences professionnelles : • elles sont mobilisables à tout moment et pour toute activité ; • Et ce quels que soient la personne et son environnement géographique, privé et socio-professionnel. • Elles permettent la valorisation de l’expérience de vie acquise en dehors des circuits traditionnels.
BCC • Evaluation des: • aptitudes verbales ; • aptitudes numériques ; • aptitudes d’abstraction ; • aptitudes de spatialisation. • Sur base volontaire • Sans critères de performance • Sans liaison avec l’existence d’un diplôme
UN EXEMPLE DANS LE CADRE D’UN CPAS1. AVANT LE PARCOURS INDIVIDUALISE • Lors de la conférence des Présidents de CPAS, un opérateur de structure décrit le projet PCI et ses opportunités. • Les Présidents intéressés adhèrent au projet et informent leurs collaborateurs. • L’opérateur de structure et de sensibilisation (Braine Emploi, CEDAR, IOS) rencontre les acteurs de terrain (AS, EPS,…) pour : • identifier le système de fonctionnement de chaque partenaire ; • mettre en place une procédure commune respectueuse de toutes les structures.
2. LE PARCOURS D’EVALUATION • L’AS d’insertion rencontre un bénéficiaire du RI qui pourrait être engagé dans le cadre de l’ article 60 dans une fonction « d’aide administrative ». • Les pré-requis à l’embauche ont été exprimés en termes de compétences cognitives. • L’AS contacte un établissement d’enseignement de promotion sociale, responsable du BCC. • Le bénéficiaire participe au BCC. • Ses résultats font l’objet d’un feedback cognitif et psycho-social : • la synthèse des résultats du BCC est transmise à l’AS ; • les résultats du suivi psycho-social sont confidentiels.
3. LE PARCOURS DE REMEDIATION (PR) • Les résultats du BCC du bénéficiaire montrent une différence entre le niveau atteint en aptitudes numériques et lexicales par rapport au seuil d’embauche défini. • L’AS en discute avec le bénéficiaire. • Le bénéficiaire accepte la nécessité d’un parcours de remédiation. • L’AS contacte l’établissement EPS. • L’établissement EPS met en place un parcours de remédiation en fonction des lacunes constatées. • Le bénéficiaire participe activement au PR. • Les résultats du PR sont transmis à l’AS.
4. LA TRANSITION VERS L’EMPLOI • L’AS dispose du dossier complet du bénéficiaire. • Le bénéficiaire répond aux conditions d’employabilité de l’emploi « aide administrative ». • Le contrat « Article 60 » peut être signé.
ET SI LA PERSONNE SOUFFRE D’UN HANDICAP ? • L’AWIPH étudie la faisabilité d’un parcours adapté à l’handicap.
ET SI LA PERSONNE NE PEUT PARTICIPER A UN BCC ? • L’ASBL CREAFORM étudie : • la faisabilité d’une solution appropriée à la personne ; • la mise en place d’ateliers pédagogiques personnalisés.
LA GESTION DE LA COMMUNICATION • Intervention de l’ASBL INDIGO : • Plate-forme de communication • Help line • Sites (PCI, PECI) • Archivage • Bibliothèque virtuelle • Conférences de presse
LA GESTION DU PDD • Convention de PDD • Accord de coopération transnationale • Comité d’accompagnement • Cellules : • socio-pédagogique • de communication • transnationale • administrative et financière
L’AUTO-EVALUATION DU PROJET • Création d’un groupe d’auto-évaluation • Travaux basés sur le guide du FSE • Travaux sur les documents existants • Travaux de groupe • Enquêtes auprès des partenaires • Enquêtes auprès des bénéficiaires • Analyse, synthèse, conclusions
CHIFFRES DU BORINAGE • 59 sessions de BCC - 385 inscriptions • 188 bénéficiaires du RI • 24 titulaires d’un dossier AWIPH • 167 demandeurs d’emploi • 6 autres statuts • 4 ateliers de remédiation - 17 inscriptions • 14 bénéficiaires du RI • 2 demandeurs d’emploi • 1 titulaire d’un dossier AWIPH
CHIFFRES DE LA LOUVIERE - CENTRE • 67 sessions de BCC - 504 inscriptions • 302 bénéficiaires du RI • 23 titulaires d’un dossier AWIPH • 135 demandeurs d’emploi • 44 autres statuts • 24 ateliers de remédiation - 285 inscriptions • 129 bénéficiaires du RI • 131 demandeurs d’emploi • 25 autres statuts
CHIFFRES DE LA VILLE DE MONS • 52 sessions de BCC – 440 inscriptions • 440 bénéficiaires du RI • 20 ateliers de remédiation – 110 inscriptions • 110 bénéficiaires du RI
COMMENT LIRE LES CHIFFRES ? • Il s’agit de personnes qui ont choisi de participer à LEUR PARCOURS D’INSERTION. • Le nombre de contacts et d’entretiens avec les candidats potentiels est, bien sûr, beaucoup plus élevé.
TRANSFERT VERS L’EMPLOI AU NIVEAU DES CPAS • Vecteurs communs : • Aide administrative • Aide aux personnes • Espaces verts • Ouvrier polyvalent • Technicienne de surfaces • Mais aussi : • EFT Ferme Delsamme • Gardienne maternelle – enfants malades • Agents de sécurité • Chauffagiste • Cuisinier • Vendeuse • …
APRES L’ARTICLE 60 • Durant cette année de contrat, le bénéficiaire est préparé à « l’après article 60 ». • La remédiation et la formation sont également organisées durant le contrat.
CONCLUSIONS • Cadre du projet : • refuser une situation concrète et insatisfaisante ; • explorer des pistes novatrices en matière d’insertion socioprofessionnelle ; • réconcilier les attentes des entreprises et des citoyens. • Solutions concrètes envisageables. • Actions de terrain programmées.
CONCLUSIONS • Néanmoins ! Nécessité d’aller plus loin : • Etendre le BCC aux compétences génériques: • gérer l’information ; • gérer les tâches ; • diriger ; • gérer les relations interpersonnelles ; • fonctionner personnellement. • Mise en place du bilan socioprofessionnel.
POURSUIVRE… • L’action continue à La Louvière-Centre et à Mons-Borinage : • évolution des procédures de travail ; • volonté de déboucher sur des procédures standardisées à dimension européenne. • Nouveau projet : « GENERIC »
LES PARTENAIRES • CPAS de La Louvière • CPAS de Mons • Province de Hainaut (CPEPSB) • Ville de La Louvière (Form@t 21) • ASBL CEDAR • ASBL INDIGO
MERCI POUR VOTRE ATTENTION Pour des renseignements relatifs au projet GENERIC, contacter Monsieur Daniel Nervenne, Coordinateur 0475/754 724