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1. L’ ALIMENTATION DU SPORTIF (Athlétisme)
2. L’entraînement commence à table ! Bien s’alimenter est essentiel pour:
La santé
La forme
Les performances
3. Une combinaison toujours efficace Entraînement régulier
Sommeil suffisant
Une bonne alimentation
4. La diététique Forme physique optimale
Limiter les blessures
Réserve en carburant maximale
Maintien de la masse musculaire
Effacer la fatigue consécutive aux entraînements
5. LES NUTRIMENTS Les protéines 15 %
Les lipides 30 %
Les glucides 55 %
Vitamines
Minéraux
6. Muscle = moteur constitué de protéines Deux types de carburant :
GLUCOSE stocké sous forme de glycogène (foie , muscle)
LIPIDES sous forme de graisses
7. La capacité du sportif est directement liée au stock de glycogène qui permet de :
? Maintenir un effort intense plus longtemps
? D’améliorer les performances
8. Vitamines & Minéraux Indispensables à l’assimilation des nutriments et au métabolisme
Apportés exclusivement par l’alimentation
? si le sportif mange suffisamment d’aliments riches en vitamines , les compléments ne lui apporteront rien d’autant plus que certaines vitamines sont toxiques à forte dose
9. VITAMINES Toute carence perturbe le métabolisme & entraîne une baisse du rendement physique.
Une supplémentation n’améliore pas le niveau de performance s’il n’y a pas de carence.
10. Les vitamines C et E ainsi que le Sélénium favorisent la récupération
En effet ils neutralisent les radicaux libres fabriqués lors de l’accélération des réactions chimiques qui surviennent à l’effort VITAMINES
11. Où les trouver ? Vitamine C : fruits & légumes frais
L’activité de la vit C présente dans les végétaux dépasse tjs à dose égale, celle d’un sel pharmaceutique
Vitamine E : huile , germe de blé , légumes et légumineuses
12. LA VITAMINE C Réduit la sensibilité aux infections des sportifs
Augmente l’absorption du Fer au niveau digestif
13. Vitamines du groupe B Métabolisme des protéines(B2,B6) , lipides (B5,B8) , glucides(B1,B5) , énergétiques.
Système nerveux et musculaires
Défense immunitaires (B9)
14. Où les trouver ? Foie , levure , viande , œufs , poisson, laits , céréales complètes, germe de céréales , légumes, oléagineux
? alimentation variée
15. Le Calcium Les athlètes ont besoin de beaucoup de Calcium ;
Toute carence provoque crampes , crise de tétanie, récupération + difficile & fragilisation des os
Laitage à tous les repas
Après l’entraînement réflexe laitage sucré ( yoghourt à boire , lait aromatisé…)
Dessert au soja ne contiennent pas de Ca++
16. Le Magnésium Les sportifs sont souvent carencés en Mg
Pour éviter cela penser à consommer
Fruits de mer , fruits secs , pain complet , germe de blé , soja , et des eaux riches en Mg (Contrex, Badoit, Hepar, Vittel)
Mais aussi gérer ses efforts en se ménageant du repos
On peut faire appel à une supplémentation lors de compétitions rapprochées
17. Supplémentation Les compléments à forte densité nutritionnelle :
Levure de bière , 1 cuill à soupe (5g)
= 128% B1 ( S nerveux & musculaire et M glucides)
= 50 % B9 (immunité)
= 3% Zinc
18. Germe de blé 2 cuill à café =
10% fer, Mg & Zinc
55% B1
22 % Vit E
100 % sélénium
En gélules ou paillettes
19. Le Fer Privilégier les aliments riches en fer, surtout d’origine animale (mieux assimilé) car :
BESOINS EN O2 + PERTES
? consommer 2 à 3 fois par semaine des aliments riches en fer tels que :
Foie de viande, viande rouge, boudin noir, fruits de mer
+ Vitamine C (assimilation)
20. Différents types de ration Ration d’entraînement
Ration d’avant compétition
Ration pendant la compétition
Ration de récupération
21. Ration d’entraînements ?Objectifs :
Réserve optimale en carburant
Favoriser le développement et l’entretien de la masse musculaire
Effacer la fatigue consécutive à lentraînement
22. QUATRE REPAS PAR JOUR Petit déjeuner
Déjeuner
Goûter
Dîner
Cela permet une meilleure assimilation et évite les coups de pompe
23. LE PETIT DEJEUNER Céréales ( pain , pain de mie , biscottes , biscuits , céréales sans sucre )
Fruit ou jus de fruit « pur jus »
Produit laitier ( lait , laitages , fromage)
Boisson ( thé , café , lait , eau)
Produit sucré ( miel , confiture)
24. PETIT DEJEUNER Insuffisant, il engendre une hypoglycémie qui affecte :
Les performances
La vigilance
La récupération
25. Déjeuner & Dîner « équilibrés » Les différents groupes d’aliments :
? Un bâtisseur & réparateur =
Viande , poisson , œufs , fruits de mer , produits laitiers
? Un carburant = pâtes , riz , semoule , légumes secs , pain, pomme de terre
? Une source de calcium : laitages
? Deux aliments riches en fibres, vitamines et minéraux : fruits & légumes , un cru et un cuit
26. Quantité de viande Besoins des sportifs en protéines
1,2 à 1,5 g / Kg PC / J
Soit :
50 Kg = 250 g
60 Kg = 250 à 300 g
70 Kg = 300 g
80 Kg = 400 g
90 Kg = 400 g
100 Kg = 450 g
27. Ces apports sont mieux assimilés s’ils sont consommés en 2 fois
Les céréales et les protéines complètent l’apport en protéines
100 g viande = 100 g de poisson
= 2 œufs = 2 tranches de jambon
= 2OO g de fromage blanc
28. PROTEINES ACM 20
= 8g de protéines associé à des vit du groupe B, Mg et Zn
En cure de 20 J
29. Ration d’avant compétition La veille :
Idem qu’à l’entraînement
Privilégier les féculents
Eviter : viande rouge , plats en sauce fritures , coquillages
30. Le dernier repas du jour de l’épreuve n’a aucune incidence sur les réserves en sucre des muscles : il ne sert qu’à alimenter le foie et éviter l’hypoglycémie
Or , l’élément capital pour réussir sur marathon consiste à stocker le + de glycogène dans les muscles …
31. DANS CE CAS Alimentation hyperglucidique surtout jeudi & vendredi (sucres lents & rapides)
La veille au soir également
3 h avant le départ = sucres lents et un laitage
Du repas à l’échauffement = boisson au fructose
Dès l’échauffement = boisson énergétique
En course = boisson énergétique toutes les 15 min
32. Pas de glucose Car s’accompagne de la libération d’insuline qui bloque la mobilisation des graisses de réserve & de glycogène
Et ainsi, au bout de 60 min de course, ce processus conduit à la fermeture des « robinets »
33. Dernier repas avant l’épreuve Digeste
Riche en sucres lents
Pas de crudités
Règle d’or :
3 à 4 heures avant le début de l’épreuve
34. Dernier repas Essentiellement composé de sucres lents : pâtes , semoule sucrée ou salée , pain , biscottes , céréales , fruits secs , riz au lait
+ ou – poulet , jambon blanc , yaourt , fromage blanc
Limiter les sucres simples ( sucres purs , pâtisseries…)
Limiter les graisses sauf le beurre cru
+ ou – compotes
35. Pendant l’épreuve Au-delà d’ 1 heure , on peut faire appel à des boissons énergétiques à base de maltodextrines ( polymères de glucose) qui se caractérise par l’absence de saveur sucrée (écoeurement) et leur aptitude à assurer un apport d’énergie sans risque de troubles digestifs
Boisson isotonique = assimilation optimale
36. Ration de récupération Deux phases :
Elimination des déchets
Réparation
37. Ration de récupération Principes :
Réhydrater, ce qui en même temps favorise l’élimination des toxines (déchets de l’effort)
Alcaliniser ( pour lutter contre le lactique)
Compenser les pertes en sels minéraux
Recharger les réserves en glycogène et ce le + rapidement possible ( 2 heures)
38. Tout de suite après Boire de l’eau plate dans un premier temps puis une eau bicarbonatée pour éliminer le lactique
Des glucides pour reconstituer les stocks de glycogène ( « fenêtre ouverte ») et ce le + rapidement
39. Important Pendant les 24 premières heures qui suivent une course le processus d’élimination des déchets prime sur la réparation des muscles
40. Repas après la course Œufs ( protéines , cholestérol)
Féculents
Légumes ( vitamines & minéraux)
Laitages
Fruits
Une alimentation riche en viande & poisson est acidifiante donc à éviter pour lutter contre le lactique
41. Les besoins en eau Eau = 65 % de notre corps
Hépar : magnésium
Contrex, Vittel : calcium
St –Yorre, Arvie , Quézac : bicarbonates
Varier; en dehors des cas de récupération et de carence en Mg, les eaux minérales ne présentent pas plus d’intérêt que l’eau du robinet
42. Conséquences de la Déshydratation Accidents musculaires & tendineux :
Claquages, crampes , tendinites et courbatures
Calculs urinaires
Hyperthermie
Problèmes digestifs
BAISSE DES PERFORMANCES
1% = 10 %
43. Hydratation Il faut boire avant, pendant et après l’effort
La soif est un signe de déshydratation
Au moins 2 litres par jour
44. Boire de la bière après l’effort Propriétés diurétiques qui aggravent les pertes en eau
Pauvre en sel alors que le corps en a besoin
L’alcool perturbe les mécanismes de restauration du taux de sucre dans le sang
45. Les tendinites La sous –hydratation en est la cause principale mais aussi la consommation excessive de viande , charcuterie, graisse et épices
46. Viande rouge Eviter 24 h avant & après la course car longue à digérer , produit des déchets dans le sang & freine l’élimination du lactique
47. CONSEILS Manger dans le calme à heures régulières
Ne pas sauter de repas
Les apports alimentaires doivent compenser les dépenses, le maintien d’un poids stable permet de vérifier cet équilibre
Varier votre alimentation
Consommer du poisson 2 fois / semaine
48. CONCLUSION Il est prouvé qu’une prise en charge diététique combinée à la préparation physique améliore les capacités d’endurance et de résistance
Alors à vous de jouer !