140 likes | 232 Views
Conference africaine du Caire Mars 2008. « Pratique de bonne gouvernance et performance économique au Gabon ». Par Nicolas MENSAH ZEKPA Docteur ès Sciences économique Conseiller Economique du Ministre d’Etat Ministère de l’Economie, des Finances, du Budget et de la Privatisation
E N D
Conference africaine du Caire Mars 2008
« Pratique de bonnegouvernance et performance économique au Gabon » Par Nicolas MENSAH ZEKPA Docteur ès Sciences économique Conseiller Economique du Ministre d’Etat Ministère de l’Economie, des Finances, du Budget et de la Privatisation Le Caire Mars 2008
1- Pratique de la bonne gouvernance au Gabon : transparence et responsabilisation La gouvernance est une dimension importante de l’environnement des affaires. Elle est donc essentielle dans la promotion de la croissance économique. La transparence se définit ici comme l’accès du public à la connaissance des politiques et stratégies gouvernementales
Les politiques économiques et stratégies de développement sont clairement définies au Gabon a travers notamment : > la Réflexion stratégique <<GABON 2025>>, en 1994 > le DSCRP en 2006 qui précise la stratégie de diversification de l’économie > les codes, lois et règlements ont été adaptes pour fixer le cadre de mise en œuvre de cette stratégie
La responsabilisation s’affirme à travers l’implication de la société civile et du secteur privé dans les processus de formulation et de contrôle lors de la mise en œuvre des politiques économiques • Dans les relations gouvernement/secteur privé, le patronat joue un rôle primordial en influençant la formulation des politiques (notamment les mesures fiscales ou douanières : exemple : fiscalité forestière, régimes douaniers privilégiés, hausse des prix du carburant …) de façon à optimiser les conditions de développement du tissu économique gabonais.
2- Les performances de l’économie gabonaise De nombreuses études réalisées par les services de la Banque mondiale indiquent une forte corrélation entre le degré de développement économique et la bonne gouvernance. Dans quelle mesure le discours a-t-il influé sur les performances de l’activité économique et l’éclosion du secteur privé (gabonais) ?