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A.R.H.I.F. Observatoire Régional du Médicament Hospitalier. EXPERIENCE : C.H. Meaux 77. Quelques pré-requis. Objectif final : « améliorer le circuit du médicament » Comment : participation à un partenariat avec l ’A.R.H.I.F. Pourquoi : pour convaincre et prouver aux tutelles ...
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A.R.H.I.F. Observatoire Régional du Médicament Hospitalier EXPERIENCE : C.H. Meaux 77
Quelques pré-requis ... • Objectif final : « améliorer le circuit du médicament » • Comment : participation à un partenariat avec l ’A.R.H.I.F. • Pourquoi : • pour convaincre et prouver aux tutelles ... • parce que c ’est un enjeu de santé publique ... • Expériences précédentes : participation à la B.D.S.F. de la F.H.F. • Comment : • y consacrer le moins de temps possible • s ’appuyer sur les pratiques quotidiennes du « terrain » • pour justifier le besoin d ’informatiques adaptées à nos missions
Le « terrain » ... • 1er concept « idéaliste » : • les médicaments de « gastro-entérologie » sont consommés en service de gastro-entérologie … or : • classe A médicaments des voies digestives : 207 052€ • dépenses du service de gastro-entérologie : 12 956€ soit 6.3% • tous les patients hospitalisés pour pathologie digestive ne sont pas en gastro-entérologie … • « ON NE PEUT DONC PAS CROISER LES DÉPENSES DE MÉDICAMENTS DE GASTRO-ENTÉROLOGIE AVEC LES DÉPENSES DU SERVICE … »
Le « terrain » ... • 2ème concept « idéaliste » : • 1 patient … 1 prescription informatisée … 1 dispensation individuelle nominative • CH-Meaux : 21 477 dispensations nominatives (dont les rétrocessions 5 906) pour 206 899 dispensations globales ! • antibiotiques de réserve • chimiothérapies • hématologie VIH • rétrocessions • 95% de la dispensation est faite « aux armoires » et non au patient • « ON EST LOIN D ’UN COUT PAR PATIENT OU A LA PATHOLOGIE »
Le « terrain » ... • 3ème concept « idéaliste » : • nous disposons d ’informatiques adaptées ! • La plupart des logiciels à disposition des PUI sont des logiciels comptables … • les médicaments bénéficient d ’une codification homogène dans tous les centres hospitaliers ! • code CIP en 3, en 55 • code UCD en 9 • code ATC en niveau 1 à 5 • codes internes et particuliers aux logiciels en place • « IL N ’Y A PAS DE BASES DE DONNEES PRODUITS HOMOGENES »
Le « terrain » ... • 4ème concept « idéaliste » : • le découpage analytique de nos hôpitaux en UF est homogène ! • CH-Meaux : 140 UF servies par la PUI dont 60 majeures • Les UF servies par la PUI sont regroupées en 20 groupes de services différents (chirurgie/médecine/psychiatrie/hébergement/médico-techniques etc.) • « IL N ’Y A PAS DE CLASSIFICATION HOMOGENE DES SERVICES »
L ’expérience ... • Travail sur la base du CH-Meaux extraite du logiciel PHARMA
L ’expérience ... • Retour du site informatique CRAMIFavec correspondances entre les différentes codifications :
L ’expérience ... • Corrections des anomalies et indication des correspondances entre les codifications par le site informatique CRAMIF • Corrections manuelles des codifications UCD • Renseignement automatisé des ATC 5 depuis les UCD corrigées • UCD = 1 présentation - 1 dosage - 1 forme • EDI • portails Hospitalis etc. • base Thériaque
« Pour aller plus loin » … ensemble • Le temps « pharmacien » n ’est pas extensible … • Les fichiers de base doivent être facilement extractibles : • contacter les développeurs de logiciels hospitaliers • contacter les services informatiques hospitaliers • mise à disposition de procédures automatisées d ’auto-extraction des fichiers (en test sur CH-Meaux PHARMA) • Harmoniser les codifications des services hospitaliers : codification OAP du PMSI • Favoriser l ’implantation de logiciels de prescription dispensation individuelle des médicaments • Développer les contacts avec les autres groupes de travail sur le même thème : DHOS : COMEDIMS-codifications ...
1er bilan … « personnel » ... • Investissement pharmacien : minimal • Amélioration logicielle locale déjà constatée • Stratégie « gagnant-gagnant » : • l ’ARHIF a besoin des données pharmaceutiques • la prescription dispensation informatisée est le « passage obligé » pour : • une information économique pertinente • un circuit du médicament sécurisé • une diminution de la iatrogénie médicamenteuse donc pour une diminution des coûts • l ’ARHIF favorise la mise en place de la prescription informatisée … dont l ’usage devrait être la règle dans un contexte futur de « tarification à la pathologie »