E N D
1. Pneumopathie communautaire grave Antibiothérapie probabiliste : faut-il appliquer les recommandations ?
H. GEORGES. Service de réanimation polyvalente
CH TOURCOING
2. Pneumonies communautaires : recommandations ATS 1993 2001 2007
BTS 1993 2001 2004
IDSA 1998 2000 2003 2007
CID 1993 2000
SPLF 1999
SPILF 1991 2006
AFFSAPS 1999
ANAES 2001 Recommendations qui évolue en raison des résistances nouvelles, de nouvelles molécules, des pathologies ou co morbidités qui évolue, nouvelles études Recommendations qui évolue en raison des résistances nouvelles, de nouvelles molécules, des pathologies ou co morbidités qui évolue, nouvelles études
3. Impact des recommandations
1. Adhérence
2. Durée de séjour. Mortalité
3. Coût/efficacité
analyse des deux dernières conférences de consensus
5. 1. Adhérence aux guidelines Multicentrique 15 hôpitaux environs 1200 patients
Guidelines espagnol
80% d’adherence au guidelines
8% admis en réa
Mortalité : 6%
Varaition d’un hôpital à l’autre de 47 à 97%Multicentrique 15 hôpitaux environs 1200 patients
Guidelines espagnol
80% d’adherence au guidelines
8% admis en réa
Mortalité : 6%
Varaition d’un hôpital à l’autre de 47 à 97%
6. Environs 65% de pneumonies classe IV, V
Antibiotherapie concordante : IDSA 2003 et ATS 2001 si administration d’une ATB initiale par une FQ respiratoire ou une association bétalactamine macrolide
Pas de différence sur les end points si utilisation de l’un ou de l’autre
Les cause s de discordances : assocation bétalactamine et fluoroquinolones (n)2) et n)1 mbetalactamine en monotherapie
Environs 65% de pneumonies classe IV, V
Antibiotherapie concordante : IDSA 2003 et ATS 2001 si administration d’une ATB initiale par une FQ respiratoire ou une association bétalactamine macrolide
Pas de différence sur les end points si utilisation de l’un ou de l’autre
Les cause s de discordances : assocation bétalactamine et fluoroquinolones (n)2) et n)1 mbetalactamine en monotherapie
7. 199 pneumonies sévères ventilées
62 % de compliance au guidelines de l’IDSA (2003)
Durée de ventilation supérieure de 3 j pour les patients non compliants au guidelines199 pneumonies sévères ventilées
62 % de compliance au guidelines de l’IDSA (2003)
Durée de ventilation supérieure de 3 j pour les patients non compliants au guidelines
8. Guidelines 2003 de l’IDSA
Multicentrique; 33 hôpitauxGuidelines 2003 de l’IDSA
Multicentrique; 33 hôpitaux
9. Guidelines ATS 1993 diapo à discuter ?
Durée de séjour : diminution en moyenne de 1 jour de durée de séjourGuidelines ATS 1993 diapo à discuter ?
Durée de séjour : diminution en moyenne de 1 jour de durée de séjour
10. Environs 20 % des patients admis en réaEnvirons 20 % des patients admis en réa
11. 3. Coût/efficacité ? Antibiotiques ? de 42 à 87%
? Réalisation d’hémocultures : ? de36 à 96%
? Réalisation d’un ECBC : ? de 53 à 86%
Mortalité : ? de 10.2% à 6.8%
Charges totales ? de 10.574 $ à 9.629 $ Antibiotiqsue : choix de l’ATB et rapidité d’administartionAntibiotiqsue : choix de l’ATB et rapidité d’administartion
12. Étude avant après instauration d’un protocole
En Irlande
Ils sont passés de 11 atb utilisé à 3
112 patient avant 115 patient après
Le guidelines comportait des reco diagnostic et therapeuique
Le côut est en livreÉtude avant après instauration d’un protocole
En Irlande
Ils sont passés de 11 atb utilisé à 3
112 patient avant 115 patient après
Le guidelines comportait des reco diagnostic et therapeuique
Le côut est en livre
13. Étude faite en 2002
Adherence : mortalité : 88%
Non adhérence : mortalité 81%Étude faite en 2002
Adherence : mortalité : 88%
Non adhérence : mortalité 81%
14. Appliquer les recommandations : C’est :
? Diminuer la durée de séjour
? Diminuer la durée de ventilation
? Diminuer la durée de résolution des symptômes
? Diminuer la mortalité
? Améliorer le rapport Coût-efficacité
15. L’antibiothérapie doir tenir compte des bactéries présumées des résistances
Les recommendations sont surtout basées sut des études rétrospectives
L’antibiothérapie doir tenir compte des bactéries présumées des résistances
Les recommendations sont surtout basées sut des études rétrospectives
16. Ordre de fréquence décroissant
S aureus lors des épidemies de grippe
Pyo pour IDSA : steroids per os , BPCO sévère, alcoolisme, fréquente ATB
Les anaérobies ne sont généralement pas couvertsOrdre de fréquence décroissant
S aureus lors des épidemies de grippe
Pyo pour IDSA : steroids per os , BPCO sévère, alcoolisme, fréquente ATB
Les anaérobies ne sont généralement pas couverts
17. PAC non sévère Pas de délai pour l’administration des ATB
Meehan jama 1997 : augmentation de la survie si ATB donné dans les 8 h chez la personne agée
Houck en 1994 si le délai est < 4 h
Pour l’IDSA pas de notion de délai mais recommandation pour débuter aux urgences
Pas de prise en compte d’une antibiothérapie préalable
Pas de bithérapie empirique, mais on n’a pas écarter l’idée d’une association en cas d’échec
Quels sont les arguments en faveur du pneumocoque ?Pas de délai pour l’administration des ATB
Meehan jama 1997 : augmentation de la survie si ATB donné dans les 8 h chez la personne agée
Houck en 1994 si le délai est < 4 h
Pour l’IDSA pas de notion de délai mais recommandation pour débuter aux urgences
Pas de prise en compte d’une antibiothérapie préalable
Pas de bithérapie empirique, mais on n’a pas écarter l’idée d’une association en cas d’échec
Quels sont les arguments en faveur du pneumocoque ?
18. PAC non sévère Choix de l’amox pour le pneumocoque : honorable
Ils posent des arguments independammenet du terrian sous jacentChoix de l’amox pour le pneumocoque : honorable
Ils posent des arguments independammenet du terrian sous jacent
19. Peut on formuler des arguments en faveur du pneumocoque selon le contexte et le tableau clinique ? 395 PAC hospitalisées
Recherche rétrospective de corrélation entre signes cliniques et étiologie
? Âge
>60 ans : pas d’orientation
<60 ans : virus (OR 2,3) et mycoplasme (OR 5,4)
? Institution : pas d’orientation
? Comorbidités
Aucune : virale ou atypiques (OR 1,9)
Tabac : légionelle (OR 3,2)- pneumocoque (OR 3,9)
Pathologie hépatique ou OH : pneumocoque (OR 3,9)
BPCO ou maladie pulmonaire : BGN-pyo (OR 3,1)
Pathologie neurologique : inhalation (OR 20,1)
? Sévérité
Pneumocoque (OR 2,5) ou BGN (OR 2,5)
? Présentation clinico-radiologique : pas d’orientation
20. Etude comparative de 2 antibiothérapies chez des patients avec suspicion de Pneumonie à pneumocoque
? PAC avec 2 des signes suivant pour inclusion
Début brutal
Fièvre élevée > à 39°C avec des frissons
Douleur thoracique
Foyer unique sur la radiographie
ECBC : présence de G+
329 patients inclus
177 infections à pneumocoque soit 54%
22. Les études ont montré une augmentation de mortalité si monothérapie avec une bétalactamineLes études ont montré une augmentation de mortalité si monothérapie avec une bétalactamine
23. Étude rétrospectiveÉtude rétrospective
24. Pourquoi uneC3G puique l’amox marche sur le pneumocoque si on met une FQAP
Quel macrolide IV
Pourquoi une fluoroquinolone antipneumococcique
Pourquoi le macrolide a disparu dans le topo 2 alors qu’il est présent dans le 1 et le 3Pourquoi uneC3G puique l’amox marche sur le pneumocoque si on met une FQAP
Quel macrolide IV
Pourquoi une fluoroquinolone antipneumococcique
Pourquoi le macrolide a disparu dans le topo 2 alors qu’il est présent dans le 1 et le 3
25.
Ça pourrait donner tienam amiklin et tavanic pour une mamie qui aurait eu 3 jours d’augmentin à la maison
D’autant que dans les textes long, il n’y a pas trop de donné ées sur le pyo dans l’épidémiologieÇa pourrait donner tienam amiklin et tavanic pour une mamie qui aurait eu 3 jours d’augmentin à la maison
D’autant que dans les textes long, il n’y a pas trop de donné ées sur le pyo dans l’épidémiologie
26. Patient hospitalisé en réa IDSA 2007
Quasiment aucune étude résultats extrapolés d’ études de pneumonies non sévères et d’analyses rétrospectives
Diminution de la mortalité quand une bithérapie est utilisée au coursd es pneumonies avec bactériémie à pneumocoqueQuasiment aucune étude résultats extrapolés d’ études de pneumonies non sévères et d’analyses rétrospectives
Diminution de la mortalité quand une bithérapie est utilisée au coursd es pneumonies avec bactériémie à pneumocoque
28. Macrolide s sont érythro dans la première partie de l’étude puis azythroMacrolide s sont érythro dans la première partie de l’étude puis azythro
29. ? Intérêt de l’association bétalactamine- FQAP ou la mortalité des pneumonies à pneumocoque diminue-t’elle avec deux antipneumococciques ?
30. PAC et Antibiothérapie préalable
? Pifarre Respir Med 2007 30%
? Bodi Clin Infec Dis 2005 24%
? Arancibia Arch Intern Med 2002 22% Dans la discussion de l’étude d’arancibia il est dit que les bacilles rgram négatif c’est surtout dans les pneumonies sévères
En gééral, les pyo, c’est 1-5% dans les pneumonies peu sévères
Quand est-il du pyo isolé dans les crachats de BPCo est il pathogène ?Dans la discussion de l’étude d’arancibia il est dit que les bacilles rgram négatif c’est surtout dans les pneumonies sévères
En gééral, les pyo, c’est 1-5% dans les pneumonies peu sévères
Quand est-il du pyo isolé dans les crachats de BPCo est il pathogène ?
32. Procédure de désescalade. PAC sévère SPILF 2006 Si l’amox suffit pour lae pneumocoque pourquoi mettre une C3G en empirique puisqu’il y a une fluoroquinolone
Si on laisse la C3G seule, qu’est ce que l’on fait des germes atypiques que l’on doit couvrir
Pas de procédure de désescalade si e coli, HI, …
En l’absence de documentation pourSi l’amox suffit pour lae pneumocoque pourquoi mettre une C3G en empirique puisqu’il y a une fluoroquinolone
Si on laisse la C3G seule, qu’est ce que l’on fait des germes atypiques que l’on doit couvrir
Pas de procédure de désescalade si e coli, HI, …
En l’absence de documentation pour
33. 192 auteurs de 44 guidelines européens et nord américain
Il y aurait intérêt à signaler les conflits d’interêt192 auteurs de 44 guidelines européens et nord américain
Il y aurait intérêt à signaler les conflits d’interêt
36. Conclusion PNEUMONIE COMMUNAUTAIRE GRAVE
Antibiothérapie probabiliste : faut-il appliquer les recommandations ?
oui au vu des études
MAIS…
L’ideal étant peut être de faire son propre guidelines de service ou d’hôpital à partir de plusieurs guidelinesL’ideal étant peut être de faire son propre guidelines de service ou d’hôpital à partir de plusieurs guidelines